Var-Matin (Fréjus / Saint-Raphaël)
« Une fois que je suis levé, il ne peut rien arriver de pire »
Si vous étiez un lieu dans l’agglomération ?
Mon jardin à l’usine de la Redonne, au Flayosquet. Sans aucune hésitation. C’est le reflet de moi-même, et le fruit de mon imagination.
Si vous étiez un film ?
Forest Gump. Il est décalé. Le personnage principal me ressemble un peu. Il se laisse porter, et il lui arrive toujours plein de choses extraordinaires à force de faire ce qu’il a envie de faire.
Si vous étiez une chanson ?
Il y en a plein (il réfléchit) .Jene peux pas en choisir qu’une. C’est un langage universel qui relie les gens entre eux et qui donne de la joie.
Si vous étiez un livre ?
Là encore, je ne peux pas en choisir qu’un. Il y a quelques années j’aurais dit la Bible. Mais aujourd’hui je suis tourné sur le fantaisiste ou l’héroïque.
Un modèle ou un héros ?
Si j’étais un héros ? Je ne serais pas moi. On me prend parfois en modèle. Je déteste ça. Je suis très attaché à la liberté et à la responsabilité individuelle.
Si vous étiez un chiffre ?
Le huit. Car c’est le jour d’après…
Si vous étiez une plante ?
Je dirais la liane pour sa facilité d’adaptation.
Si vous étiez un son ?
Un bruit long et continu. Comme une cloche ou un dong. Je pense que c’est en lien avec le temps.
Si vous étiez une devise ?
Une fois que je suis levé, il ne peut rien arriver de pire ensuite (rire). J’aime beaucoup l’autodérision. Plus sérieusement, je dirais humour et amour.
Si vous étiez un goût ?
Une épice. Ce qui est fade, ce n’est pas bon. Ça rajoute du pep’s.