Var-Matin (Grand Toulon)

Et les autres

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Parmi les disqualifi­és de ce dimanche, deux autres candidats étaient attendus au tournant.

Philippe Sans, ancien adjoint au maire chargé de l’urbanisme et désormais seulement conseiller municipal pour crime de lèsemajest­é, se voyait comme le représenta­nt du renouveau. Sur ce créneau, il s’est fait damer le pion par Élisabeth Chantrieux et sa course a été stoppée nette avec , % des suffrages ( voix). « Déçus et surpris, dit le candidat Divers droite, on espérait être dans les gros candidats... » Au lendemain, il n’appelle à voter pour aucune des deux finalistes. Sa collègue du conseil municipal appréciera d’autant plus... Plus à gauche ou plutôt du côté des forces « humanistes, écologiste­s et sociale », Luc Léandri peut aussi être déçu : il espérait un score à deux chiffres. Il devra se contenter de , %. La faute dit-il à l’absence de sa propagande électorale dans les domiciles toulonnais : « On a dû perdre  à , point », juge-t-il. Après le score de Jean-Luc Mélenchon dans la circonscri­ption (près de  %) à la présidenti­elle, le représenta­nt de La France insoumise pouvait croire à mieux. N’empêche que son mouvement est en progressio­n. En , Philippe Himber, candidat du Front de gauche aux législativ­es, plafonnait à , %. « Là, c’est notre socle, notre électorat le plus en conscience, celui à partir duquel on va pouvoir construire. »

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