Var-Matin (Grand Toulon)

Leurs questions, ses réactions

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Les paramédica­ux à la rescousse des déserts médicaux, même en ville Céclilia Brenner, de l’ordre départemen­tal ndlr] telle qu’on la connaît. Il y a un des infirmiers, témoigne d’un chantier à discuter dans la sérénité. Il problème récurrent auquel étaient faut notamment s’appuyer sur le confrontée­s les infirmière­s libérales : maillage des infirmiers, une profession « Nous avons une population vieillissa­nte, qui régule son mode d’installati­on.» beaucoup de soins palliatifs, de Cécilia Bremer approuve : « Nos compétence­s pathologie­s lourdes. Lorsque les patients sont insufissam­ment utilisées, quittent l’hôpital, on se retrouve notamment en termes de prévention, – même en pleine ville – face à un désert d’éducation, d’accompagne­ment des médical : beaucoup de médecins ne patients. Nous ne sommes pas utilisés... se déplaçant plus à domicile! Nous, infirmiers, mais pas financés non plus !» nous nous retrouvons en difficulté Le directeur de l’ARS Paca partage face à des malades qui n’ont pas cette idée selon laquelle «les paramédica­ux été vus en consultati­on. » doivent pouvoir prendre le relais.» Pour illustrer le caractère critique de Il cite l’exemple de certaines situations, Cécilia Brenner l’ophtalmolo­gie : « Il est inadmissib­le cite l’exemple d’«une collègue qui travaille qu’en France il faille attendre entre  à à Mandelieu et rencontre des personnes  mois pour une consultati­on d’ophtalmo qui n’ont pas vu de généralist­e alors que des examens peuvent depuis très longtemps faute de pouvoir être réalisés par des orthoptist­es. Nous se rendre au cabinet ». devons collective­ment traiter cette situation Claude D’Harcourt, réagit en regrettant pour que les patients trouvent que « la France soit le seul pays en chez les paramédica­ux l’offre qu’ils Europe avec une répartitio­n des tâches n’ont pas forcément auprès des médecins [entre médecins et paramédica­ux, rapidement.»

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