Les bienfaits des thérapies zen
Le bien-être était au centre de toutes les attentions, hier , à l’occasion de la journée « Lifestyle » au sein de l’association Vanikoro.
A l’initiative de Sandrine Marche et Sylvie Garcia, deux thérapeutes varoises, ce dimanche fut consacré à la découverte de nombreuses activités paramédicales, en présence d’experts de ces sciences souvent méconnues du grand public. « L’organisation de ce type d’événements fait suite à la rencontre de Sandrine il y a quelques années. Nous avions la même vision sur les différents types de thérapies comme celle proposées aujourd’hui. C’était la personne idéale et l’on a décidé ensemble de mettre en oeuvre cette première édition. Nous voulions réunir en un même lieu, le corps, l’âme et l’esprit », explique Sylvie Garcia, Numérologiste. Une synergie de pensées associée à une volonté commune de mettre en avant le travail de professionnel exerçant dans la santé physique ou cérébrale. Des soins prodigués à la fois de « façon collective avec des “talk table”, où l’interactivité entre l’auditoire et le conférencier est à la base de ces l’ateliers d’une trentaine de minutes. Les échanges peuvent également se faire de façon individuelle et personnalisée au contact d’un tatoueur énergétique, un masseur ou bien encore un spécialiste du feng shui, art millénaire chinois dédié à l’harmonisation de l’énergie environnemental », poursuit Sandrine Marche.
En connexion avec la personne
Mais avant de consulter en vue d’améliorer sa qualité de vie extérieure, les visiteurs de cette journée zen ont pu s’assurer d’une sérénité intérieure. Des cocktails de fruits et légumes bio, réalisés par Marion Kaplan, naturopathe, à l’aide d’un vitaliseur, ont fait office de source énergétique pour débuter la matinée. Cuits à la vapeur douce n’excédant pas quatrevingt-quinze degrés, les aliments conservent toute leur valeur nutritive. Une méthode saine pour un corps sain offrant décontraction et plénitude avant de se diriger vers le chamane. Valérie Marsillach, « femme-médecine » de cette pratique originaire de Mongolie, centrée sur la méditation entre les êtres humains, les esprits et la nature ; vous donne l’opportunité de « vous libérer, d’ouvrir son coeur et de converser pour que les mots révèlent les maux». Ce langage dit « des oiseaux » permet de « déployer l’être véritable via un cheminement guidé par l’esprit du tambour ». Celle qui à découvert le chamanisme lors d’un séjour en Amazonie se mue « en guide pour accompagner et développer l’extra sensoriel et la claire audience permettant d’entrer en connexion ». Il faut alors prendre « conscience de l’unité et percevoir les mémoires de vies antérieures pour se débarrasser d’une souffrance ou d’un blocage
Le chant magnétique
Le chercheur de quiétude pourra également se laisser porter par la méthode quantique où les énergies ont la part belle. Aux côtés de Michèle Giangreco, thérapeute quantique, l’état d’esprit sera à « l’engouement et l’enthousiasme, sources d’ouverture de conscience. Le champ magnétique du coeur est plus puissant que celui du cerveau et l’on fait naître une émotion en lien avec la réalité que l’on créée. L’ADN se relâche et engendre un sentiment positif. La méthode des “deux points” basée sur la physique réunit la force du coeur, la puissance de la conscience et la matrice de l’univers. Sans être Wheeler ou Einstein, on tend vers l’état “d’être plutôt que de faire”». Sont alors analysés : la respiration, le son, les paroles et le regard, sans aucun protocole, la primordialité étant l’instant. Tous les sens sont donc pris en considération dans cette discipline, mais aussi au travers de cette manifestation, où les bulles de quiétude se diffusent sans modération.