Var-Matin (Grand Toulon)

Le Grand Prix de France de F continue de recruter

À moins de trois semaines du grand retour de la F1 au Castellet, tous les emplois ne sont pas encore pourvus. Alors à vos CV, le Grand Prix de France n’attend peut-être plus que vous !

- P.-L. P.

Si les sports mécaniques vous intéressen­t et que vous êtes disponible­s du 20 au 24 juin prochain inclus, le Grand Prix de France, qui se déroulera le dimanche 24 juin sur le circuit du Castellet, a peutêtre un travail pour vous. À moins de trois semaines du départ de la course, le recrutemen­t est en effet loin d’être bouclé. Les marchés pour le nettoyage, la restaurati­on, ou l’accueil du public viennent ainsi tout juste d’être attribués. Dans la dernière ligne droite, Pôle emploi, partenaire du Grand Prix, multiplie donc les job dating ces jours-ci dans ses agences du bassin de Toulon. Après une journée de recrutemen­t pour 50 à 70 agents de nettoyage, organisée lundi à La Seyne, Pôle emploi, en collaborat­ion avec l’agence de travail temporaire ESO Intérim, recherche 120 employés polyvalent­s de restaurati­on. Un premier job dating se tenait hier dans l’agence de Six-Fours. Deux autres suivront : aujourd’hui à l’agence de La Rode à Toulon, et le 13 juin à celle de La Seyne.

Un Grand Prix de France attractif

Mais ce n’est pas tout. Pour le compte de l’agence d’accueil événementi­el Charlestow­n, Pôle emploi est en quête de 200 hôtes et hôtesses. Là encore, un job dating, « solution qui permet de brasser beaucoup de monde en peu de temps», explique Christine Battesti, la directrice territoria­le déléguée pour le bassin de Toulon, sera organisé demain jeudi 7 juin, entre 9 het 15 h, à l’agence Pôle emploi de SixFours. Dans la mesure où ce sont des postes d’accueil, « un niveau d’anglais correct et une bonne présentati­on» sont un plus. Par ailleurs, même si Pôle emploi n’est pas directemen­t missionné pour le faire, l’agence participe avec trois entreprise­s de travail temporaire au recrutemen­t de 150 agents de contrôle pour l’accès aux parkings et aux tribunes. Si, dans un laps de temps aussi court, ces volumes de recrutemen­t ne sont pas simples à satisfaire, heureuseme­nt «le Grand Prix de France reste une marque employeur », glisse Christine Battesti. Traduction: la perspectiv­e de travailler pour le très glamour Grand Prix de Formule 1 génère énormément de candidatur­es. Pour mémoire, le forum de l’emploi organisé le 14 avril dernier au circuit du Castellet avait attiré 3 000 personnes !

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(Photo doc Frank Muller) Si le temps commence à presser, le monde la Formule  ne manque pas d’attractivi­té auprès des demandeurs d’emplois.

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