Le pourcentage du jour : %
Ce lundi, des élèves de seconde du lycée Jean-Aicard ont reçu, sur la plage de l’Almanarre, 60 collégiens des alentours pour les sensibiliser sur l’environnement, en partenariat avec le parc national de PortCros.
Un enseignement unique
Participants à l’enseignement d’exploration unique « Sensibilisation à la gestion du patrimoine naturel » proposé par le lycée hyérois, « ils ont tenu à organiser cette journée de prévention dans le cadre de leurs travaux de restitution de fin d’année et pour faire part de leurs connaissances sur la biodiversité » souligne leur professeur Sébastien Conio. Cette journée a donc été riche en découvertes pour les collégiens de Marcel Rivière, de la Seyne-surmer ou encore de Pierrefeu, puisqu’ils ont pu participer à cinq ateliers scientifiques et « effectuer un parcours découverte pour en apprendre plus sur les espèces protégées ou encore les espèces invasives qui peuplent la mer Méditer ranée. » explique M. Conio.
Séance de snorkeling
Suite au partenariat avec l’enseigne Decathlon La Garde qui a accepté de prêter du matériel, les jeunes ont pu découvrir les fonds marins à l’occasion d’une séance de snorkeling sur le sentier sousmarin d’Olbia, encadrée par les apnéistes Blue Addiction de La Londe. Ces 18 élèves de seconde ont ainsi pu faire reconnaître cet enseignement pour promouvoir une « généralisation » de celui-ci, soutenus par les professeurs Stéphane Angius et Sébastien Conio, qui ont euxmêmes créé cet enseignement en 2012. Cette journée était donc un moyen de « comprendre pour préserver», ligne directrice de la préservation de l’environnement. Détruite par une automobiliste, la statue la femme au flambeau a officiellement retrouvé sa place au carrefour à l’angle du lycée Jean-Aicard, lundi. L’occasion pour le maire Jean-Pierre Giran d’expliquer que seulement % de la facture de restauration ( a été pris en charge par les assurances qui ont appliqué une décote de vétusté du monument pour justifier leur remboursement. « Comme si, en matière de patrimoine, les choses ne prennent pas de la valeur avec le temps », a regretté le maire. Cependant, la Ville ne désespère pas de récupérer le « reste à charge » pour reprendre une expression très employée ces jours-ci dans le domaine de la santé.