La logique a été respectée
J1 au National bouliste de Gonfaron à pétanque, par triplettes. Ils se sont promenés en préliminaires, mardi matin (une poule de trois puis un forfait !), ont bien profité du repos, à l’ombre. J2 : ils ont mis le coup de rein, hier matin. Puis, à l’heure digestive, leur demie a été avalée sans grand soucis en dépit du score, 13-10 contre des… Lacroix, deux Marius et un Marcel (de Puget-Ville et des Alpes de Haute-Provence). Ils ont conclu hier, en toute fin de journée.
Lacroix, Quintais, Belhomme sacrés
Et il avait la banane, le « sniper » Henri Lacroix. De même que son acolyte toutterrain, solide à l’appoint comme au tir, le grand Philippe Quintais qui opère un retour serein et d’une rigueur exemplaire, souvent applaudie. Cyrille Belhomme, capable du meilleur et du moins bon, s’est aussi frotté les mains. 13-3 contre les Ardéchois Marc Tierno, Rinaldo et Christian Uhlmann. Pas mauvais, accrocheurs, même, mais irréguliers et pas toujours les mieux inspirés en terme de stratégie. Là où les autres (ABC Draguignan, Oleron et Boule tropézienne) n’hésitent jamais… La triplette finaliste a cependant une belle fin de tableau à son actif. Elle s’est débarrassée des Malgaches (Rakotovasana, Rahaigosonaina, Andrianjaka), étonnants d’adresse et de calme, que l’on imaginait donner du fil à retordre à Henri Lacroix et consorts. Tout s’est donc tenu pendant une demi-heure et six points. Puis la logique et le talent ont grignoté. Jusqu’aux derniers trois points acquis après un tir approximatif des Ardéchois à la mène neuf. La précédente avait simplement différé l’inévitable grâce à un tir au bouchon de Christian Uhlmann. Mais la chance n’opère pas à tous les coups. Et Lacroix-Quintais veillaient au grain ! Les coupes et cadeaux ont été remis par le maire, Thierry Bongiorno, la première adjointe, Henriette Sournin, Guy Kachel, adjoint au sport, et le président des JBG, Jérôme Bazin. Finale : Henri Lacroix-Philippe QuintaisCyrille