Qualité de l’air en question

Depuis quelques mois, impossible de ne pas lier l’activité croisière aux accusations de pollution atmosphérique. Autant dire que du côté du Mourillon, on risque de tousser en apprenant que le Costa Néoriviéra ne va pas se contenter d’une escale express mais va rester à quai de  h à minuit. Des inquiétudes que la compagnie tente d’apaiser comme elle peut. «On suit rigoureusement la réglementation qui consiste à ne pas avoir de fioul qui rejette plus de ,% de soufre. C’est la loi et elle est respectée », assure Georges Azouze, président de Costa France. Le Neoriviera en revanche n’est pas un paquebot capable de fonctionner au gaz naturel liquéfié (GNL). Il ne pourrait pas non plus se brancher sur un quai électrifié. «La protection de l’environnement est l’une de nos priorités, assure Costa. La mise en oeuvre de la technologie GNL pour la propulsion des navires ainsi que la mise en oeuvre et l’utilisation d’Advanced Quality Air Systems (système pour purifier la qualité de l’air) en sont la preuve.»