L’impact a aussi été financier
« Nous avons eu des pertes de recettes au niveau des crèches que nous gérons, lorsque les neuf structures ont été contraintes de fermer lors du premier confinement au même titre que les écoles et autres établissements », analyse Michel Canone, directeur du Centre communal de l’action sociale, saluant « la présence et l’efficacité de la Caf ». L’arrêt des animations a contribué, aussi, à la perte des recettes : loto, thé dansant à la Vilette, repas des retraités de la ville, fête des crèches à l’Espace ... Au final, le budget du Centre communal de l’action sociale, établissement public autonome, avec son propre budget, a été amputé de euros (lire par ailleurs). À cela, il faut y ajouter les euros de dépenses pour l’achat de matériel sanitaire nécessaire au bon fonctionnement des services. La commune a abondé de son côté à hauteur de
euros pour « remédier aux absences des agents dues à la Covid- ». Elle a budgétisé euros à titre de l’aide pour le versement de la prime Covid aux agents mobilisés, tous ayant été très investis durant la crise sanitaire. Un contexte sanitaire compliqué qui n’a pas gommé la volonté en décembre de faire un geste solidaire envers les enfants des familles en difficulté en consacrant une partie du budget des animations à l’achat de paquets de chocolats.