Vue sur l’Atelier, un palais de la gourmandise
Jérémie Rosso, pâtissier, chocolatier, glacier travaillait depuis ans dans de grandes maisons aixoises et son épouse Amélie était naturopathe. Mi-janvier, ils ont sauté le pas pour installer leur atelier de fabrication assorti d’une boutique à Hyères.
On y trouve des chocolats bien sûr, mais aussi, entre autres, des macarons à la pistache de Sicile, des croquants aux amandes bio de Valensole ou encore un Panettone au cédrat confit. Jérémie est aussi un glacier hors pair et ne travaille qu’avec des ingrédients de grande qualité. Il propose six crèmes glacées dont une à la vanille en gousse Bourbon de Madagascar, une à la pure noisette du Piémont et six sorbets plein fruits avec % minimum.
Pour Pâques, ils organisent un jeu concours pour gagner un oeuf en chocolat noir grand cru, garni de friture, en devinant son poids. Il faut se connecter à leur Instagram ou leur page Facebook pour participer. La personne qui se rapprochera le plus du poids de l’oeuf, le gagnera et pourra retirer son cadeau dans leur boutique. Le résultat sera diffusé vendredi avril en fin d’après-midi. Petit indice, l’oeuf mesure cm de hauteur... (Texte et photo A.B.)
Vue sur l’Atelier, 1 avenue du Général de Gaulle, du lundi au samedi de 9 h à 18 h 30. Instagram : @vuesurlatelier, Facebook : @VueSurlAtelier, Tél : 04. 94. 38. 66. 44.
Ecoquartier de la Crestade : le recours de Philippe Ferré rejeté
La décision du Tribunal administratif de Toulon concernant le recours de Philippe Ferré contre le permis du futur écoquartier de la Crestade était attendue. Elle est tombée vendredi mars et le TA de Toulon a, en première instance, rejeté la requête de Philippe Ferré considérant « qu’il ne justifiait pas d’existence d’un intérêt lui donnant qualité pour agir. » Une décision actée par le requérant qui note de son côté que « les conclusions de la société Bouygues et de la commune d’Hyères ont aussi été rejetées. On nous renvoie dos à dos, le problème n’a pas été tranché sur le fond », lâche Philippe Ferré qui se laisse le temps de la réflexion pour savoir s’il fera appel de la décision devant de Conseil d’État. « J’ai deux mois, je réfléchis » indique-t-il.