Moi député, une loi à mon nom traiterait...
Isaline Cornil : « Un de mes combats au quotidien, c’est l’accompagnement des AESH (accompagnants des élèves en situation de handicap), qui mériteraient d’être titularisés tout de suite, d’avoir un vrai salaire, et une vraie formation qui leur permette de pouvoir gérer tout type de handicap. »
Aline Bertrand : « Ce serait la préférence nationale, dans toutes les branches. J’ai passé quatre ans au Canada, donc je sais ce que c’est de faire un visa, d’avoir des emplois réservés, et je n’ai pas trouvé ça choquant. Priorisons les enfants de France. »
Ange Musso : « Je m’engagerai avec force et détermination dans une vaste loi de simplification, pour libérer les Françaises et les Français des carcans administratifs. » Julien Argento : « Ange Musso vient de me prendre mon projet de loi (rires). Mais ce n’est pas grave, j’en ai d’autres. Je pense qu’il faut créer des emplois jeunes, et pour ça, aider les jeunes à rentrer dans l’emploi. Donc je propose une mesure pour défiscaliser les charges patronales, et ensuite, selon un barème, d’avoir un étalement progressif des charges pour ces jeunes, pour qu’ils puissent rentrer sereinement dans l’emploi avec des bons salaires. »
Laure Lavalette : « Ma loi sera celle qui déconjugalisera l’allocation adultes handicapés, ce que les collègues élus de M. Musso ne veulent pas faire. Je rappelle ce que c’est : quand vous êtes handicapé et que vous vous mariez à quelqu’un qui gagne un peu d’argent, vous ne touchez plus d’aide, ou alors très petite. La personne se retrouve dans une double dépendance : celle de son handicap et celle de son conjoint. »