George Sand
La romancière, qui séjourna à Tamaris de février à mai 1861, décrivit le Faron dans Le voyage dit du Midi.
« Le derrière du Faron est aussi aride que le côté de Toulon. Il a son genre de beauté, sa couleur de cendre pâle, ses forts brillants et roses au soleil couchant, ses longues et singulières aiguilles de dalles énormes et redressées verticalement. C’est un pays pittoresque et une jolie promenade. (...) On m’avait promis ici des forêts de châtaigniers que je n’ai pas aperçues. Ils sont fort blagueurs ou se contentent de peu, les Toulonnais ! »