Frank Giletti, une vie de fidélité au RN récompensée
Il aime son département et s’il a voyagé dans le monde entier, il est toujours revenu dans le Var. Aujourd’hui élu député de la sixième circonscription, Frank Giletti promet de porter les valeurs qu’il défend depuis des dizaines d’années. « Je suis entré au Front national quand j’avais 1516 ans.
À l’époque j’étais déjà passionné d’actu, d’histoire, de société. Jean-Marie Le Pen tenait alors un discours qui me pla isait. Au parti j’ai aussi trouvé une bonne ambiance de camaraderie. »
AU FN dès 1995
En 1995, alors qu’il est âgé de 22 ans, il entre à la mairie de Toulon aux côtés de Jean-Marie Le Chevallier. En 98, il devient conseiller régional. « J’ai alors beaucoup appris, ça m’a servi pour la suite, notamment dans ma vie professionnelle. Peu de temps après, j’ai rencontré David Rachline. » Une jeunesse militante en commun «çacrée des liens » raconte celui qui est aujourd’hui directeur général adjoint des services à la mairie de Fréjus. En commun également, une fidélité sans faille au parti « en acceptant et accueillant volontiers ses évolutions. On est finalement assez peu à avoir fait preuve d’une telle fidélité. » Au-delà de l’appareil politique, le conseiller municipal, opposant au maire de Puget-sur-Argens, a trouvé au Rassemblement national le moyen de défendre
« une certaine idée de la France. Je suis fier de son histoire, de ce qu’elle a accompli dans de nombreux domaines. Je suis fier d’être Français parce que j’aime profondément mon pays. » Le quadragénaire connaît bien son département.
« Plus jeune, j’ai fait du foot, du rugby, je vis ici depuis que j’ai 3 ans, ça m’a laissé du temps pour sillonner le Var» , raconte ce supporter du RCT. Ces dernières semaines l’ont amené à la rencontre des habitants d’une très large circonscription. Une campagne électorale intense pour Frank Giletti qui peut compter sur le soutien de son épouse. « Elle n’est pas militante mais elle me supporte. Nous avons trois enfants de 4, 10 et 12 ans, c’est du sport ! Sans elle et son soutien, rien n’aurait été possible. »