Rosberg comme un pacha à Bakou
Nico Rosberg (Mercedes) a imposé un régime de fer sur le Grand Prix d’Europe à Bakou, où il a gagné sans être inquiété hier en partant de la pole position, pour rétablir son emprise sur le championnat. « J’avais l’impression que je pouvais faire tout ce que je voulais, il n’y avait pas de risque de commettre d’erreurs », s’est réjoui le vainqueur d’un Grand Prix finalement beaucoup moins spectaculaire et intéressant qu’espéré. Après un début de championnat impeccable avec quatre victoires en quatre courses, l’Allemand avait laissé échapper les trois Grands Prix suivants et en particulier les deux derniers, remportés par son coéquipier et principal rival Lewis Hamilton, qui a terminé dimanche alors qu’il n’était que sur la grille.