Équipementier automobile GM&S : reprise des discussions entre les syndicats et Bercy
Les discussions entre les syndicats et le ministère de l’Économie autour du sort de l’équipementier automobile GM&S, menacé de liquidation, ont repris hier après-midi sur fond de désaccord avec le repreneur potentiel sur les indemnités de licenciement. GMD, un emboutisseur stéphanois, propose de reprendre le site de l’équipementier à La Souterraine (Creuse), et de garder de ses salariés, mais les syndicats l’accusent de refuser toute indemnité de licenciement à un montant supérieur à celui fixé par la loi.
« Nous travaillons »
Hier, une première rencontre a eu lieu à h à Bercy entre le président de GMD, des représentants de PSA et Renault et le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, Benjamin Griveaux. Ensuite, le secrétaire d’État
Bettencourt : les « écoutes », une question « d’intérêt public », selon les prévenus
« Protéger Liliane Bettencourt » et « publier des informations d’intérêt public » : l’ex-majordome de l’héritière de L’Oréal et cinq journalistes, poursuivis en appel pour « atteinte à l’intimité de la vie privée » de la milliardaire, n’ont pas varié dans leur défense hier. Au coeur de ce nouveau procès figurent les fameux enregistrements clandestins réalisés entre et par Pascal s’est rendu dans un hôtel du XVe arrondissement afin de rencontrer les délégués syndicaux à partir de h. « J’ai reçu les constructeurs et le repreneur potentiel à Bercy en début d’aprèsmidi pendant deux heures. Nous travaillons. Vous me permettrez de réserver la primeur aux représentants des salariés et non à la presse », a déclaré Benjamin Griveaux à la presse, à son arrivée à l’entrevue avec les syndicats. Bonnefoy, l’ancien maître d’hôtel de Liliane Bettencourt, à l’insu de sa patronne, et dont des extraits avaient ensuite été retranscrits par Médiapart et Le Point en juin . Ces retranscriptions révélaient par exemple la santé déclinante de la femme la plus riche de France, mais aussi des soupçons de fraude fiscale et d’immixtions politiques, notamment de l’ÉLysée sous la présidence Sarkozy, dans la procédure pour abus de faiblesse.