% des écoliers bénéficient des temps d’activités périscolaires
Dix jours après la rentrée scolaire, rencontre avec Philippe Von Euw, l’élu en charge de l’éducation, pour faire un point sur la rentrée.
Comment s’est passée la rentrée scolaire à Sanary ?
Très bien, c’est une excellente rentrée, avec une heureuse surprise : le lendemain de la rentrée nous avons appris que l’Éducation nationale avait décidé d’ouvrir une classe de maternelle supplémentaire à l’école Jean-Michel Cousteau. Il y a au total élèves scolarisés dans les quatre écoles publiques de la commune.
Sanary a fait le choix de rester à la semaine de , jours, contrairement à d’autres communes voisines. Pourquoi?
Tout d’abord je tiens à préciser que % des municipalités sont restées à la semaine des , jours comme nous. Et surtout, à Sanary, la municipalité veut avant tout privilégier les intérêts des enfants en leur offrant des temps d’activités périscolaires (TAP) qui leur permettent de découvrir des activités de qualité.
Quelles sont ces activités ?
Nous avons quatre activités phares qui sont l’apprentissage des langues étrangères (anglais, espagnol et italien), la musique, l’informatique et les danses de salon. Ces activités sont pratiquées pendant le temps scolaire, à la pause méridienne ou pendant les TAP. D’autres activités sont exclusivement pratiquées pendant les TAP : les échecs, le tennis, le basket, la peinture, les arts plastiques, l’éveil pour les tout-petits, la boxe, le street art, le journalisme, le théâtre, le yoga et le cirque.
Combien coûtent ces activités ?
Elles sont offertes aux familles, sachant que la municipalité y consacre un budget annuel de euros, en partie soutenu par des aides de la CAF et de l’Etat. Cette année, % des enfants ont choisi de bénéficier de ces TAP.
Qui sont les intervenants ?
Ce sont personnes, dont agents municipaux et animateurs membres d’associations ou autoentrepreneurs. Nous nous engageons à sélectionner des personnes compétentes et sûres. Ainsi, ils doivent être titulaires d’un BAFA ou équivalent, fournir une copie de leur casier judiciaire. Nous communiquons leurs identités au ministère de la Jeunesse et des Sports qui s’assure qu’ils n’ont jamais fait l’objet d’une condamnation relative aux enfants, même amnistiée.