Une première année en chiffres
■ Personnes placées sous main de justice (PPSMJ) sont entrées en contact avec le pôle enseignement. ont ensuite participé à un parcours de formation. L’écart s’explique par de simples changements d’avis, mais aussi par des libérations ou transferts.
■ PPSMJ sont entrés dans le parcours de formation par le module de positionnement. S’il est logiquement obligatoire, deux catégories de détenus y échappent : les travailleurs et les non-francophones.
■ champs de compétences sont évalués par le module de positionnement : la compréhension et l’expression orale et écrite ; le raisonnement logique et l’utilisation des mathématiques ; l’utilisation de méthodes et d’outils pour apprendre (mémoire, concentration...) ; le travail en autonomie ; le travail en coopération ; la connaissance et le respect de la règle et du droit ; la créativité.
■ unités d’enseignements sont disponibles pour les détenus. Cela va des traditionnelles langues étrangères à l’Histoire-géographie en passant par le français et les maths. Mais il y a aussi des jeux de stratégie, l’Histoire du cinéma, de l’interculturalité, de l’expression artistique...
■ jeunes majeurs sont entrés dans un parcours de formation, soit % des PPSMJ scolarisés. Il s’agit là des à ans. Si l’on restreint aux - ans, ils sont encore , soit ,% des PPSMJ scolarisés. Une statistique particulièrement élevée et qui répond à une problématique récurrente chez les plus jeunes.