Le prix d’une promesse non tenue
■ . Le ministère de la Justice prend la décision de construire une nouvelle prison à La Farlède et de démolir la prison Saint-Roch, devenue obsolète. « Le ministère avait décidé de conserver cette emprise pour réaliser une extension et une restructuration du palais de justice et créer une cité judiciaire. Il avait commandé une étude de programmation à un cabinet », rappelait en le maire Hubert Falco à l’ancien garde des Sceaux, Jean-Jacques Urvoas. ■ . Différents scenarii sont présentés, un comité de pilotage est mis en place et un projet est arrêté. ■ . Toulon Provence Méditerranée et la ville de Toulon signent avec le ministère de la Justice une convention relative à la démolition de la maison d’arrêt Saint-Roch. Laquelle stipule bien la volonté de « tous les signataires de consacrer ce terrain à la restructuration du palais de justice de Toulon » .« C’est dans cet esprit que la ville a soutenu ce projet, qui n’aurait pas été possible sans ce partenariat à forte incidence financière », rappelle le maire en auprès de l’ancien garde des Sceaux. TPM a cédé gratuitement au ministère de la Justice le terrain pour la construction du centre de semi-liberté à La Valette (terrain acquis pour , M€). Et TPM a financé à hauteur de % le coût de la démolition de la prison Saint-Roch, un fonds de concours à hauteur de euros.