« Qualité et confort de travail au collège Louis-Clément »
Deux cent six élèves ont fait leur rentrée hier au collège Louis-Clément. Ils sont répartis dans deux classes pour les niveaux 6e, 4e et 3e, et dans trois classes pour les 5e. Ce qui représente une moyenne de 22 à 28 élèves par classe. Fait marquant de cette reprise, les collégiens ont fait la connaissance de la nouvelle principale, Catherine Casson. De Suisse et du Pays de Gex, sa région natale, à SaintMandrier, en passant par Paris et Garéoult, Catherine Casson a débuté sa carrière en tant qu’institutrice, puis est devenue directrice d’école et professeur de lettres. Elle pose donc, cette année, ses valises sur la presqu’île, et nous livre ses premières impressions.
Vous êtes heureuse de prendre vos quartiers au collège Louis-Clément ?
J’attendais avec impatience cette affectation pour Saint-Mandrier, que j’avais réclamée. J’ai été en poste durant huit années au collège Louis-deMaupassant à Garéoult. C’est une structure plus importante qu’ici, avec élèves. C’est donc un sacré changement pour moi, mais c’est aussi ce que je recherchais.
Comment se sont passés vos premiers contacts avec les équipes en place ?
J’ai trouvé des enseignants et une équipe du service “vie scolaire” stables et très motivés. Il nous manque juste deux professeurs (Histoire et Français), qui devraient nous rejoindre très rapidement.
Quelles sont vos impressions sur les conditions de travail ici ?
Le groupe scolaire mandréen offre une structure particulière. Il est en effet rare de trouver, dans une même ruelle, l’ensemble des bâtiments scolaires allant de la maternelle à la troisième. Cela offre une qualité et un confort de travail exceptionnels. C’est aussi pour cela que mon objectif sera de travailler sur la mise en place de liens avec les lycées alentours.
Dans quel but ?
L’objectif est de préparer les collégiens à sortir de ce contexte familier et confortable, à voir comment c’est ailleurs... Nous allons donc étudier ce que nous pouvons mettre en place dans ce sens.
Et qu’en est-il du téléphone portable dans l’enceinte de l’établissement ?
Pas de grand changement par rapport à l’an passé, même directive : les portables restent éteints au fond des sacs, mis à part pour des besoins pédagogiques éventuels. En cas de non-respect, l’appareil atterrit dans le tiroir de mon bureau, et ce sont aux parents de venir le récupérer.