Var-Matin (La Seyne / Sanary)

Les choix de la ligue

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« Notre objectif, explique Nathalie Peberel, responsabl­e du secteur habitable de la ligue voile Paca, est de développer la pratique auprès de nos jeunes et de leur permettre de naviguer dans les meilleures conditions. Pour cela, il nous fallait une flotte collective. La seule qu’on avait pour nos jeunes régatiers est sur le site du Creps d’Antibes. Notre idée est donc d’avoir un pool de bateaux sur le bassin de Marseille afin d’irriguer sur toute la région ».« Pour mettre en oeuvre ce projet,

poursuit Claude Le Bacquer,

président de la ligue, le budget dépasse celui de la plupart des  clubs de la région. L’acquisitio­n des six J représente un investisse­ment de l’ordre de   euros (tout compris, livrés avec voiles et remorques) qui est donc financé pour moitié par la ligue et pour moitié par la Région ».« Nous avons choisi les J qui correspond­ent à ce qu’on veut faire : de la découverte, de l’entraîneme­nt et des régates, indique Nathalie Peberel. Nous sommes passés par le chantier Esprit Sud parce qu’il était évident de s’adresser au distribute­ur de la marque dans la région. Et la proximité, c’est plus facile s’il y a un souci .»

« Ces voiliers, complète Claude Le Bacquer, sont faciles à prendre en main par les jeunes (qui représente­nt un gros tiers

de nos   licenciés) qui viennent du dériveur et de la voile légère ; ils sont idéaux pour passer à la flotte habitable de gros calibre. Et puis ils représente­nt une flotte en plein essor, ce qui augure de possibilit­és de régates avec  ou  bateaux, entre la ligue, les clubs et les propriétai­res privés. Et ce, pour de belles épreuves en monotypie, soit en flotte, soit en match racing

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