Le Niçois Bernard Asso sur la liste des Républicains

Les Républicains ont dévoilé, hier soir, vingt nouveaux candidats de leur liste pour les élections européennes, conduite par François-Xavier Bellamy avec Agnès Evren et Arnaud Danjean à ses côtés. La commission nationale d’investiture, présidée par Eric Ciotti, a ainsi validé, à la quasi-unanimité, une liste de noms présentée par la direction. Y figurent notamment les députés sortants Nadine Morano en e position, Brice Hortefeux en e et Geoffroy Didier en e. Anne Sander est e, Frédéric Péchenard e, Laurence Sailliet e. La sixième place a, elle, été réservée pour un membre du parti Les Centristes. En quinzième position, juste derrière Lydia Guirous, apparaît le Niçois Bernard Asso,  ans. Cet avocat et prof de droit, spécialiste de sécurité et… auteur de BD, est à la fois vice-président du Département des Alpes-Maritimes, où il est élu depuis , en charge des relations extérieures, de la sécurité et du cinéma, et adjoint au maire de Nice, chargé de la politique énergétique. Il avait été l’un des rares à soutenir François Fillon, dès le tout début de la primaire de la droite, en , quand ce dernier dépassait à peine  % d’intentions de vote.

Une fourchette de dix à quinze sièges

Philippe Pradal, premier adjoint au maire de Nice, qui avait également fait acte de candidature ces derniers jours, n’a quant à lui pas été retenu… Pour l’instant du moins, la liste complète devant, in fine, comporter soixante-dix-neuf noms. En revanche, s’y trouve à la e place le maire de La Ciotat, le pharmacien et ancien rugbyman Patrick Boré. Les scores des derniers sondages (de  à  %) laissent entrevoir entre dix et quinze sièges pour Les Républicains. L’hypothèse haute permettrait à Bernard Asso d’entrer au Parlement européen. Mais des désistements pourraient également faire son affaire, voire celle de Patrick Boré.