Var-Matin (La Seyne / Sanary)

Les points à retenir

- M. G.

De l’embarcadèr­e du bateau-bus aux compteurs Linky, en passant par la corniche de Tamaris, la propreté urbaine ou les impacts de la station de traitement des boues marines, les échanges ont aussi mis en lumière trois sujets qui reviennent sur le tapis depuis la création de l’associatio­n. Le point avec Jean Cozette.

Plaidoyer pour une maison de quartier

« Sur le principe, le maire reconnaît qu’il serait normal qu’avec  adhérents, nous puissions avoir accès à une maison de quartier. Du côté de l’école Malsert, il y a une maison qui va être libérée par la police municipale, et Claude Astore nous avait indiqué que ce pourrait être une bonne solution. Nous avions écrit en ce sens au maire, mais nous n’avons toujours pas de réponse précise. Et on ne sait pas trop pourquoi… »

Le marché aux puces gratte toujours

« Le marché aux puces du dimanche matin génère des nuisances pour les riverains de la place de la Lune. Notamment ceux qui voient, tous les dimanches, des gens uriner dans l’entrée des immeubles. Il y a aussi des difficulté­s parce que certains “marchands” garent leur voiture dès le vendredi soir pour réserver leur emplacemen­t. Nous ne sommes pas contre ce marché, mais il génère des nuisances. Il doit être modernisé et la réglementa­tion respectée. On souhaite le déplacemen­t de ce marché vers le parking de l’IPFM. Mais cela ne se fera pas car, désormais, cet espace est géré par TPM. Et puis le maire a redit son attachemen­t à la localisati­on actuelle du marché, rappelant qu’il prenait aussi en compte son utilité sociale…».

Le chapiteau en sursis ?

« Nous avons de nouveau écrit en mairie pour nous plaindre d’une manifestat­ion organisée le  septembre sous le chapiteau de l’esplanade Marine, avec musique tournée vers les immeubles, jusqu’à une heure avancée. Après les nombreuses remontranc­es déjà signalées, le maire nous a indiqué avoir adressé une ultime mise en demeure au gestionnai­re du chapiteau afin qu’il respecte le cahier des charges. Si cela n’est pas le cas, le maire a dit qu’il mettrait

un terme à cette AOT (autorisati­on d’occupation temporaire) ».

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