Pas de licenciements au sein de la majorité des TPE, mais...
Reprise ou pas, les conséquences de la crise ne se font pas attendre. Premiers résultats d’un sondage mené par l’UP parmi ses adhérents de la région entre le et le mai.
■ % disent qu’ils ne « survivront » pas à la pandémie, tandis que 25 % demeurent dans l’incertitude.
■ % des entreprises de proximité déclarent n’avoir sollicité aucune aide d’État ou autres.
■ % ne prévoient pas de licenciement. En revanche, concernant les apprentis, 30 % des contrats ne seront pas reconduits une fois à terme (entre 1 et 3 ans).
■ % n’ont pas développé de nouvelles activités durant la crise.
■ % des professions libérales n’ont pas eu d’activité du tout durant le confinement. À l’inverse, 90 % des cabinets d’expert-comptable ont eu un essor de leur activité.
■ % ne disposaient pas de l’ensemble des matériels de protection (gel, gants, masques, signalétiques, etc.) pour la reprise du 11 mai.
■ % seulement sont en mesure de fournir des masques à leurs clients.
■ % des entreprises rencontrent des difficultés dans l’application des protocoles.
■ % des professionnels déclarent ne pas se sentir totalement en sécurité.
■ des entreprises maintiennent leurs salariés en activité partielle, en particulier celles qui ont un à trois salariés, sur une perspective de trois semaines à compter de la reprise du 11 mai.
■ des entreprises qui déclarent une baisse d’activité comprise en 30 et 50 % et qui, par conséquent, n’ont pas accès aux fonds de solidarité, sont inquiètes. 45 % relèvent des professions libérales.