Var-Matin (La Seyne / Sanary)

Trois recrues phares, et bientôt quatre ?

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Ce ne sont rien de moins que des joueurs à l’expérience internatio­nale que l’USS a réussi à attirer dans ses filets. De quoi réjouir les supporters !

Bien évidemment, l’arrivée de Marc Andreu a cristallis­é toutes les attentions. Vainqueur du Grand Chelem avec le XV de France en 2010 avec lequel il compte sept sélections, l’ailier de poche formé au RCT a été double champion de France avec Castres et champion de Pro D2 avec Toulon. Depuis 2008, il est passé par Toulon, Castres, le Racing 92 et La Rochelle. Il achève donc sa carrière profession­nelle, mais pas celle de rugbyman. Il rejoint La Seyne où il y retrouve le manager Martial Cottin qu’il apprécie beaucoup et tient à apporter toute son expérience du haut niveau à ses nouveaux coéquipier­s.

Anthony Perenise essaiera d’en faire de même, mais à droite de la mêlée. Agé de 37 ans, le solide samoan a longtemps évolué en Premiershi­p à Bath et à Bristol. Il totalise 82 matches en première division et 36 en D2. Il compte également 23 matches en Super 14 avec les Hurricanes et était titulaire à Rouen (Pro D2) la saison dernière avec quinze matches au compteur, dont dix comme titulaire.

« On saisira l’opportunit­é »

Enfin Richard Fourcade à une belle expérience de Pro D2 où il totalise 45 matches, principale­ment avec Aurillac et Brive qu’il a rejoint en 2018. L’an dernier, il n’a pu disputer que quatre matches en Top 14 et deux en Challenge européen. Coéquipier de Gaël Fickou avec l’équipe de France des moins de 20 ans, il vient relancer sa carrière et emmagasine­r du temps de jeu. À noter que les frères Fickou sont encore sur un ou deux joueurs issus du monde pro. « On ne se précipite pas. Si ça se fait, tant mieux. On a déjà un bel effectif. Mais on saisira l’opportunit­é si elle se présente.

Johan Peacok dans le viseur

Le solide deuxième ou troisième ligne sudafricai­n Johan Peacok (1,95 m, 115 kg) n’est pas un inconnu à l’USS. Il s’était déjà distingué au stade Marquet lors de la venue de Strasbourg en 2017, notamment lors d’une « générale » mémorable où il avait fait valoir de belles dispositio­ns dans cet atelier de travail apprécié par la communauté seynoise. En plus de ses 106 matches en Fédérale 1 avec Lille, Châlon et Strasbourg, il arrive avec encore plus de crédits auprès des supporters ouest-varois…

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