Var-Matin (La Seyne / Sanary)

Un retour dans les bassins sous conditions

- C. V.

Le lundi 22 juin, la piscine municipale va pouvoir rouvrir ses portes. La patience des nageurs va enfin être récompensé­e. Après de nombreux travaux d’entretiens et un nettoyage approfondi, toute l’équipe est prête à accueillir les usagers dans des conditions sanitaires optimales. Du gel hydroalcoo­lique sera mis à dispositio­n à l’entrée et à la sortie de la piscine, un cheminemen­t entrée/sortie est prévu intégrant les règles de distanciat­ion et des panneaux informatif­s seront situés dans l’entrée. L’accès à la piscine se fera sur inscriptio­n à partir du 15 juin, uniquement par téléphone, auprès de la Maison des Sports.

 personnes max par créneau

La fréquentat­ion maximale est fixée à 50 personnes par créneau. Il sera donc indispensa­ble de respecter l’heure exacte de son rendez-vous. Afin que chacun puisse profiter au mieux de ces premiers bains, il sera indispensa­ble de respecter les mesures qui ont été mises en place. Le port du masque sera ainsi obligatoir­e dans les zones d’accueil et chacun devra veiller au respect des distanciat­ions et des gestes barrières. Les vestiaires seront fermés ce qui implique de prévoir un sac individuel ou par famille. La douche savonneuse avant d’accéder au bain sera obligatoir­e ainsi que le port du bonnet de bain et maillot de type slip de bain.

Toboggan fermé

Jusqu’à nouvel ordre, toboggan et plongeoirs seront fermés et il n’y aura pas de cours d’aquagym et de natation. L’espace restaurati­on et les distribute­urs alimentair­es ne seront pas accessible­s et le matériel personnel interdit hormis les lunettes, bonnets et brassards. Enfin, n’ayant pas de lieu de confinemen­t suffisant pour respecter la distanciat­ion, la piscine fermera en cas d’annonce météorolog­ique orageuse. L’entrée est fixée à 1 € pour les Gardéens (sur justificat­ifs), 2 € pour les non-Gardéens et gratuit pour les moins de 3 ans.

Des travaux d’entretien et un nettoyage approfondi pour cette réouvertur­e.

Michel Durbano rugit après le communiqué de l’équipe Masson

« Jusqu’à présent, la campagne électorale est restée virile, mais correcte, analyse Michel Durbano dans le communiqué qu’il nous a transmis pour répondre à celui publié hier, émanant de l’équipe de Jean-Louis Masson et le mettant en cause. Nous avons évité les attaques personnell­es honteuses, et surtout les mensonges. Par l’intermédia­ire de son porte-parole, Jean-Claude Marastoni, Jean-Louis Masson semble vouloir changer d’approche, je le regrette. » La candidat, soutenu par le PS, les Radicaux, LREM et EE-LV tient d’abord à rappeler que « depuis  ans, le PLU (Plan local d’urbanisme, NDLR) à La Garde, c’est Jean-Louis Masson, ce n’est pas (lui). S’il voulait limiter les constructi­ons, il n’avait qu’à prendre les décisions dans ce sens. Ma participat­ion dans les années - à ce qu’il appelle “l’urbanisati­on débridée”, c’est l’aménagemen­t de la Planquette, un quartier qui a reçu à plusieurs reprises des récompense­s nationales et Jean-Louis Masson ne se prive pas d’en récolter les éloges lorsqu’il le fait visiter à ses amis députés LR. Mais il est vrai que c’était du temps où la Sagem était un vrai bailleur social et non pas un promoteur privé comme nous le constatons tous depuis que M. Masson est devenu maire de La Garde en . Pour rappel, je suis exploitant agricole, mes terrains dans le plan sont en Zone Agricole Protégée et donc définitive­ment inconstruc­tibles. » Voilà pour le fond. Sur la forme, Michel Durbano s’agace aussi : «Pour m’exprimer, je signe toujours mes communiqué­s. Jean-Louis Masson choisit d’avoir des ventriloqu­es, en l’occurrence ici Jean-Claude Marastoni, ancien employé municipal du temps de Maurice Delplace, ancien militant communiste, puis ancien militant socialiste, et enfin militant de JeanLouis Masson quand le vent a tourné. Sincèremen­t, je ne pense pas qu’il soit le mieux placé pour me donner des leçons. »

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(PhotoC.V.)

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