Valérie Closier, de la restauration aux voitures du prince de Monaco
La voilà désormais à Monaco, aux petits soins pour le prince... Qui l’aurait cru ? Pas elle en tout cas... La Parisienne devenue Raphaëloise et désormais Monégasque s’épanouit pleinement dans sa toute nouvelle vie professionnelle. Un sacré parcours qu’elle raconte : « J’ai d’abord fait de la formation informatique pour les médecins, j’ai travaillé ensuite avec ma soeur pour l’événementiel dans des restaurants en région parisienne. Jusqu’au jour où, en , un ami achète un restaurant à Sainte-Maxime et me demande de venir le diriger. J’y suis restée sept ans. » Sept années à faire un travail qui ne lui plaisait pas tant que ça... « D’ailleurs, dès , j’ai demandé au propriétaire de me mettre à mi-temps. Cela me permettait de refaire du rallye. Je suis passionnée de sport automobile depuis toute petite, alors j’ai été heureuse de me remettre à la course pour m’échapper de mon métier. » Clairement, il devenait de plus en plus évident pour la pilote qu’il fallait remédier à sa carrière professionnelle... « Jusqu’au jour où, l’an dernier, un ami me dit qu’à Monaco ils cherchent une personne pour diriger la collection des voitures du prince. Comme j’ai travaillé dans l’événementiel et que je connais bien le sport automobile, j’ai envoyé mon CV et j’ai été prise ! » La voilà libérée et pleinement épanouie : « Quand je suis au contact des voitures, j’ai l’intime conviction que je suis exactement là où je dois être, précise-t-elle, avec les yeux qui pétillent... Quand on arrive à visualiser là où on veut aller, et qu’on positive, ça finit par réussir ! » ➦ « On s’est rencontré en , se remémore-t-il. Elle était en train de s’étioler. C’est quelqu’un qui a un leadership important. On a alors fait un gros travail sur la prise de conscience de ce qu’elle vaut sur le fond, de ses compétences, de l’intelligence émotionnelle, etc. Et on s’est rendus compte qu’il fallait qu’elle trouve un métier en accord avec ce qui l’anime. »
L’avis du coach.