% de volume en plus qu’en à l’export
Comment avez-vous ressenti l'année ?
Forcément, la crise sanitaire a bousculé tout le monde, les entreprises et les personnes, les relations avec les fournisseurs et les collègues. Si on regarde les affaires, elles ne sont pas si mauvaises ; elles ont continué malgré la crise sanitaire. Nous avons même réalisé % de volume en plus qu'en à l'export, c'est une très bonne surprise. On a un peu perdu sur les États-Unis ( % environ) mais on s'est rattrapés sur d'autres pays. On ne peut pas dire que tout a été rose, notamment à cause des pertes liées à la fermeture des restaurants, mais il semblerait que les entreprises et membres du cluster ont continué à répondre à des projets d'investissement et à créer de la valeur. Globalement, la filière a fait preuve d'une très belle résilience par rapport à d'autres vignobles comme la Champagne qui a perdu % de son chiffre d'affaires.
Comment l'expliquezvous ?
Le printemps et l'été ont été favorables. On a vu que nos produits ont gardé une belle attractivité.
Que dites-vous face à la généralisation de la taxe Trump ?
Ce n'est pas un événement majeur car cette taxe était déjà en place sur % de nos vins. La philosophie des acteurs du cluster et de la filière est de privilégier l'emploi et la valeur locale. Avec le président Biden, on peut espérer une réorganisation plus sereine mais leurs intérêts aux États-Unis à travers cette taxe restent les mêmes.