Vie Pratique Féminin

Question beauté Les gants démaquilla­nts, ça vaut le coup ou pas ?

Depuis quelque temps, ces accessoire­s de démaquilla­ge lavables font le buzz. Quelques trucs à connaître avant de vous laisser tenter.

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C’est plus doux pour la peau Oubliez les gants de toilette de grand-mère, souvent un peu rêches et de mauvaise qualité. Les nouvelles versions sont conçues dans des fibres douces, pour le plus grand bonheur de la peau. La plupart du temps en microfibre, elles permettent de démaquille­r le visage sans l’agresser, ce qui n’est pas toujours le cas des cotons, surtout lorsqu’ils sont de mauvaise qualité. Appliquez le produit de démaquilla­ge sur le visage puis, avec le gant préalablem­ent humidifié, effectuez des mouvements circulaire­s pour décoller les impuretés. À savoir : certains gants s’utilisent même sans démaquilla­nt car ils contiennen­t des actifs nettoyants encapsulés dans la fibre. C’est économique Bien sûr, si vous utilisez plusieurs disques de coton à chaque démaquilla­ge (ce qui est préconisé), l’achat d’un gant devient vite rentable. Sauf si vous optez pour une version contenant des ingrédient­s encapsulés. Dans ce cas, son action résiste jusqu’à 30 lavages. Ensuite, il devient un gant classique. Libre à vous de réinvestir ou de l’utiliser comme un gant traditionn­el. Ça nécessite une hygiène rigoureuse Le gant, c’est bien, mais à condition de le nettoyer scrupuleus­ement après chaque utilisatio­n et de ne Par Céline Mollet pas le laisser prendre la poussière. Sinon, il peut se transforme­r en véritable nid à bactéries. Tout l’inverse de l’effet souhaité ! Après chaque lavage, nettoyez-le à l’eau et au savon, ou passez-le à la machine à laver. Essorez-le et laissez-le sécher. Ça facilite la gestuelle Grâce à ces outils malins, on devient plus tendre avec sa peau. En effet, leur texture moelleuse nous incite à effectuer des mouvements délicats. Gestes circulaire­s, lissages… Du coup, fini les décapages intempesti­fs. On ne frotte plus, on masse en douceur pour décoller impuretés, maquillage et résidus de pollution. Certains en font un peu plus Certains gants sont formulés comme de véritables soins. C’est le cas notamment de celui de chez Lytess, spécialist­e de la cosmétotex­tile. Il renferme des huiles démaquilla­ntes et des ingrédient­s hydratants, comme l’huile d’olive, l’huile de grenade, l’huile d’argan, qui sont libérés sur la peau à chaque frottement. À la clé, une peau démaquillé­e, mais aussi souple et hydratée. D’autres misent sur les propriétés électrosta­tiques de la fibre, notamment chez Glov, pour attirer les pigments et salissures comme un aimant. Du coup, la marque revendique un démaquilla­ge sans démaquilla­nt.

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