APPRENEZ À BIEN LIRE LES ÉTIQUETTES !
Selon les domaines, la réglementation des étiquetages et de la commercialisation des huiles essentielles change. Ainsi, pour une même HE, vous pouvez avoir différentes manières de communiquer sur cette dernière par le biais de l’étiquette. Par exemple, une HE enregistrée en tant qu’arôme alimentaire pourra obtenir le label français agriculture biologique (AB) ou l’eurofeuille (le label européen). En revanche, la même huile essentielle, enregistrée en tant que parfum d’ambiance aura un étiquetage digne d’un produit chimique, avec des pictogrammes qui peuvent effrayer. Le but est de créer une mise en garde pour garantir la santé du consommateur, certes, mais cela est parfois à l’origine d’une certaine confusion qui désoriente l’acheteur.
La meilleure des choses à faire : informez-vous auprès d’un phytothérapeute ou d’un aromathérapeuthe certifié. Enfin, sachez que quinze huiles essentielles entrent dans le monopole pharmaceutique en raison de leurs propriétés neurotoxiques, irritantes, phototoxiques – qui réagit à la lumière en émettant des substances toxiques ou allergisantes –, ou même cancérigènes et psychotropes (laurier des Iroquois).