Je ralentis
Car le plus souvent, tout déborde et les journées sont
« à rallonge ». Charge mentale oblige, on est la première levée et dernière couchée, et le manque de sommeil retentit vite sur l’humeur et les performances. On grignote (parfois n’importe quoi) rapidement entre deux corvées et on néglige de s’accorder des temps de pause pour souffler. Des attitudes préjudiciables, d’autant que l’été indien (la « cinquième saison » en médecine chinoise) nous recommande plutôt de ralentir le rythme en douceur, car les jours ont déjà sérieusement raccourci…