Dans la chambre à coucher
Poussière, chaleur, acariens… la chambre à coucher accumule les facteurs de prolifération d’allergènes. Premier réflexe, on aère au moins 10 minutes chaque jour, et on fait le lit quand il est « sec », donc pas juste après le réveil. Chaque semaine, on pense au dessous du lit, où stagne une poussière malsaine, notamment parce qu’elle contient des peaux mortes dont se nourrissent les acariens. On passe l’aspirateur et, en cas de terrain allergique, on saupoudre de la terre de diatomée. Les diatomées sont des algues microscopiques unicellulaires, des cristaux de silice mortellement dangereux pour tous les acariens mais aussi les puces, les punaises de lit, les fourmis, les poux… Cet insecticide naturel est sans aucun danger pour l’être humain! On utilise un nettoyeur vapeur si on en a un, et on nettoie les radiateurs et les appliques lumineuses à l’aide d’un chiffon en microfibres à peine humide.
Bon à savoir : la couette se lave une à deux fois par an (il est possible de la déposer dans un pressing écoresponsable, plus d’infos sur aqualogia.fr ou sequoiapressing.fr). Ce rythme peut être plus régulier en cas d’allergie.