Un effet positif… mais pas de miracles
Selon une étude menée par Bill Wolverton, un chercheur de la Nasa dans les années 1980, l’efficacité antipollution de certaines plantes était remarquable. Ses travaux ont, depuis, été remis en question, car les conditions expérimentales étaient très éloignées de celles de la vie réelle : les plantes détruisaient les polluants dans un petit cube ! Évidemment bonnes pour la qualité de l’air, elles absorbent, comme tous les végétaux, du CO2, mais elles ne sont pas magiques… D’autres études montrent toutefois qu’elles influencent favorablement l’humeur ; les Anglais appellent ça la vitamine G – le « g » du mot anglais green, qui signifie vert.