3.Le top de la cosméto vegan
Après vingt ans chez L’Oréal, suivis d’une année à flairer les tendances beauté, Sue Y. Nabi opère un retour en fanfare avec Orveda, ligne de soins avantgardiste 100 % vegan.
Comment est né Orveda? D’un déclic, tout simplement. Chez L’Oréal, je ne touchais pas terre. À Londres, j’ai pris un coach pour me reconnecter au vert. En parallèle, boostée par les sciences orientales qui montrent à quel point l’automédication détraque les capacités auto-réparatrices du corps, j’ai arrêté tous les médicaments. Très vite, je me suis sentie mieux. Les mots self-healing, vegan et green, entendus en boucle en Corée, ont résonné en moi. Ainsi est né Orveda, qui signifie l’origine de la science de l’auto-réparation.
Une ligne vegan, mais encore ? Toutes les formules sont développées en association avec des outils (éponges de konjac, pinceaux traités au charbon actif…) car on obtient de meilleurs résultats avec des gestuelles bien pensées. Elles sont les plus clean possible, et les actifs sont issus de la biotechnologie de manière à ne pas épuiser la nature. À noter, les ingrédients fermentés y tiennent une place capitale, pour préserver et renforcer l’écosystème cutané. Enfin, tous nos packs sont en verre recyclable. Chez Orveda, nous détestons le gâchis. Pourquoi une telle rupture avec le monde de la beauté ? Parce qu’il a totalement changé. On ne peut pas être et avoir été ! Aujourd’hui, il faut inventer des marques pour les cinq années à venir, pas plus. Car dans cinq ans, les avancées scientifiques nous emmèneront encore plus loin.
Quel est selon vous l’avenir des cosmétiques ? La devise «no pain, no gain» est révolue ! Agresser la peau avec des peelings, des formules irritantes, c’est de la folie. Il faut au contraire la préserver à grand renfort d’actifs fermentés. Désormais, «healthy is the new sexy» ! En clair, un soin efficace doit permettre de squeezer l’étape fond de teint. En exclu chez Harvey Nichols à Londres, dès le 1er juillet.