Cet ancien mécanicien et chef d’atelier monte son garage automobile à Revel
Après avoir passé 16 ans au service de deux grandes enseignes de l’automobile, Maxime Ledig a fini par ouvrir son propre garage. Il s’est installé à Revel.
es garages automobiles, la commune de Revel en compte déjà des tas, en centre-ville et en périphérie. C’est pourtant bien là, dans le quartier des concessionnaires – si l’on peut l’appeler ainsi –, plus précisément au 1, chemin de la Roumenguière, au nord de la ville, que Maxime Ledig a choisi d’installer son atelier d’entretien et de réparation de véhicules. « Beaucoup de clients étaient à la recherche d’un garage, même s’il est vrai qu’il y a déjà pas mal d’offre sur le secteur », reconnaît le patron de Meca Max 31.
Lorsque l’occasion s’est présentée, le trentenaire n’a donc pas beaucoup hésité. « C’était aussi une question de simplicité : en travaillant à Revel, je suis proche de mon domicile, de mes enfants », glisse le père de famille, installé depuis cinq ans, avec son épouse, dans la Cité du meuble d’art.
DEntretien, réparation, diagnostic…
Voilà désormais près d’un
Maxime Ledig est à la tête du garage Meca Max 31. Il a ouvert ses portes en mars, au nord de la commune de Revel.
mois que l’ancien mécanicien et chef d’atelier – il a travaillé 12 ans chez Bosch car service, au Luxembourg, puis quatre ans chez Toyota – exerce donc sa passion dans son propre garage. Un atelier de 100 m² qui lui permet de s’occuper des véhicules de toutes marques. « Je fais tout : l’entretien, le montage des pneus, la vidange, le service clim, la recherche de pannes… Il n’y a que la géométrie dont je ne
m’occupe pas et la carrosserie », précise-t-il.
Voitures de particuliers, d’entreprises… Toutes sont susceptibles de passer entre ses mains. Petite particularité : le professionnel travaille aussi bien avec des pièces neuves que d’occasion. « Cela permet au client, s’il le souhaite, de faire baisser un peu la note », appuie le garagiste. Avant d’ajouter : « Je fonctionne principalement
■ Lors de l’assemblée générale des Anciennes écoles royales et militaires de France, à Sorèze sur rendez-vous, mais s’il s’agit d’une intervention urgente, je m’adapte. »
Déjà des idées de développement
S’il est pour l’instant seul à faire tourner son entreprise, Maxime Ledig espère bien pouvoir développer prochainement sa société. « L’idée, ce serait surtout d’embaucher quelqu’un au bureau, notamment pour tout ce qui est administratif, car cela prend du temps », confie le Lorrain d’origine. À terme, il pourrait même agrandir l’atelier qui ne dispose, pour l’heure, que d’un seul poste. « Mais on n’en est pas encore là », tempère-t-il avec un sourire.
■ Garage Meca Max 31 1, chemin de la Roumenguière – 31 250 Revel Horaires d’ouvertures : du lundi au vendredi de 8 h à 18 h, le samedi de 9 h à 13 h. Contact : 07 78 57 03 81 ou mecamax31@outlook.fr
En raison de travaux d’entretien, la circulation sera impossible sur l’autoroute A61 dans la nuit du jeudi 18 au vendredi 19 avril (de 21 h à 7 h) entre Castelnaudary et Montgiscard. Seul le sens de circulation Narbonne – Toulouse sera impacté. Toutefois, l’entrée au niveau de l’échangeur de Villefranche-de-Lauragais sera impossible dans les deux directions. La bifurcation A61/A66 sera aussi fermée de Pamiers vers Toulouse et de Narbonne vers Pamiers.
L’association Les Lacs du Lauragais, qui combat notamment l’implantation de centrales photovoltaïques sur les plans d’eau du secteur, dont celui du Dagour à Bourg-Saint-Bernard, organise une « marche pour la préservation de l’environnement et de nos paysages » le dimanche 21 avril. Le départ de celle-ci est prévu à 10 h du 207, chemin de Pélimbert à Bourg-Saint-Bernard. Une auberge espagnole réunira les participants à l’arrivée. Infos et inscriptions au 06 31 67 22 07.
Jusqu’à présent, les manifestations organisées contre l’autoroute A69 avaient plutôt lieu sur le tracé de la future infrastructure. Cette fois, c’est dans les rues de Toulouse que les opposants au projet ont prévu de défiler à l’occasion d’une manifestation dont le départ est fixé à 14 h en haut des allées Jean-Jaurès. Cette mobilisation est organisée à l’initiative du Comité toulousain contre l’A69 qui réunit associations, collectifs, syndicats, partis politiques, scientifiques et citoyens.
Le patrimoine, c’est quoi ? Ce sont nos racines, notre histoire, notre identité, c’est aussi un vecteur de cohésion sociale, de relation entre les générations. Il impacte directement l’économie des territoires. Alors arrêtons de penser que le patrimoine c’est un coût, c’est un investissement ; arrêtons de penser que c’est un luxe, c’est une nécessité ! STÉPHANE BERN, délégué à la Fondation et au Loto du patrimoine