Les conseils d’alex

■ Aller repérer la difficulté à pied, de haut en bas, afin de ne pas découvrir l’obstacle. Ensuite, se donner des points de repère et bien anticiper le meilleur endroit où passer, celui où l’on va déclencher le geste, mais aussi ce qui va se passer dans la descente.

■ Ne pas oublier de bien descendre sa tige de selle en position basse.

■ Être bien positionné debout, sur l’avant du vélo, les épaules bien au-dessus du guidon, à l’approche de la descente, ce qui permet d’avoir le regard bien projeté dans la descente, avec vue sur la sortie.

■ Mieux vaut arriver lentement, mais pas trop non plus car il y aura un risque de déséquilibre et de pose du pied, avec risque de chute ou de difficulté à se relancer.

■ Il faut donc un minimum de vitesse, mais plus on arrivera vite, plus il faudra être réactif et être bien positionné à l’attaque de la marche.

■ Connaître ses capacités et ne pas prendre de risque inutile. Si vous ne sentez pas l’obstacle, il est préférable de descendre à pied à côté du vélo.

■ Être équipé avec un VTT all-mountain ou enduro doté de grandes suspensions et de pneus larges facilite l’exercice.

■ S’équiper en conséquence des protections nécessaires. Les genouillères sont la base, mais n’hésitez pas à porter des coudières, un casque intégral et une dorsale si vous n’êtes pas en confiance.

■ Utiliser des pédales plates permettra de poser le pied au dernier moment. Sinon, il est préférable d’avoir une bonne maîtrise des pédales automatiques et ne pas hésiter à en desserrer la tension.