Wind Magazine

Clément ROSEYRO

LA RELÈVE BASQUE

- _TEXTE : L. NEVAREZ _PHOTOS : L. NEVAREZ SAUF MENTIONS

Véritable touche-à-tout de la glisse, Clément Roseyro est toujours en action et impression­ne par son aisance dans tous les supports imaginable­s aussi dans toutes les conditions de vagues. S’il brille en surf, en longboard, en Kite, en wing ou encore en foil, c’est véritablem­ent en SUP-surf qu’il a créé la surprise en s’imposant en l’espace de 2 saisons parmi les meilleurs riders tricolores voire mondiaux. Son titre de champion de France 2019, sa 5e place à la finale internatio­nale APP de Gran Canaria en 2019 et sa 9e place mondiale ISA 2019 sont autant de preuves de sa grande déterminat­ion mais le surfer basque ne compte bien sûr pas s’arrêter là. Rencontre avec un jeune plein de talent qui n’a sans doute pas fini de nous étonner.

Salut Clément, on te voit depuis quelques années sur la scène SUP-surf mais également dans beaucoup d’autres discipline­s nautiques dans lesquelles tu brilles, peux-tu nous rappeler le point de départ de ton parcours ? J’ai commencé le surf à l’âge de 6 ans à la plage de la Côte des Basques à Biarritz. Je n’avais pas des ‘parents surfers’ à proprement parler mais mon père faisait déjà un peu de surf depuis longtemps. C’est rapidement devenu une passion et tous les jours après l’école, je ne pensais qu’à une chose, aller m’amuser dans les vagues. J’ai beaucoup de chance car au lieu de m’emmener jouer au parc, ma mère venait me chercher avec ma planche et mon goûter puis me déposait à la plage. Au collège, j’ai suivi une section sportive surf avec des horaires aménagés et des entraîneme­nts presque tous les jours. Au fil des années je commençais parfois à ressentir une forme de lassitude avec le surf ‘’shortboard’’ tel qu’on me l’enseignait depuis très jeune, j’avais la sensation de tourner en rond. Mon père avait un longboard et j’ai commencé à lui emprunter et découvrir une nouvelle approche passionnan­te du surf, ça m’a bien plu. J’avais aussi un ami, Jordan Sevellec, qui faisait du stand up sur des petites planches et semblait bien s’éclater dans les vagues et en compétitio­ns. Je me suis dit qu’il fallait que je tente ce support différent et j’ai donc emprunté au club de surf un gros SUP all round de 9’ pour aller surfer avec. C’était sympa de pouvoir ramer debout, partir sur les vagues de très loin et surtout d’avoir l’impression d’être toujours en mouvement, de faire de l’exercice sans arrêt.

Tu as ensuite poursuivi l’expérience avec des planches plus adaptées aux vagues ?

Oui, c’était même le grand écart au début car Jordan m’a dit qu’il voulait se séparer d’une de ses planches, une Lokahi 6’8 devenu trop petite pour son gabarit. J’étais plus grand que lui mais je voulais absolument une planche de SUP-surf alors je lui propose de la racheter. Je n’arrivais presque pas à tenir debout au début, c’était un enfer mais j’ai réussi à prendre une vague et j’ai halluciné sur la sensation que j’ai eue en faisant un bottom turn avec la pagaie posée l’eau. Je me suis immédiatem­ent dit : ça, c’est vraiment ce que je veux faire ! C’est génial d’avoir une pagaie dans les mains pour tourner. J’ai passé 3-4 mois pendant tout un été à m’acharner avec cette planche pour apprendre à tenir dessus et essayer de progresser. Sur 1h30 de session, je passais 1h15 dans l’eau au début, ça me rendait fou ! [rires]. Une fois que j’ai réussi à savoir bien m’en servir j’ai voulu essayer de faire des compétitio­ns pour voir. J’ai trouvé l’ambiance incroyable, c’était 1000 fois plus sympa et convivial que dans le surf.

Qu’est-ce que le stand up t’a apporté par rapport au surf ?

J’aime le stand up pour un tas de raisons à commencer par le côté physique de la discipline. Ce n’est vraiment pas simple de rester debout et ramer sur une planche, surfer une vague puis repartir au large en restant debout. C’est un effort qui sollicite l’ensemble du corps. J’ai l’impression que contrairem­ent au surf où l’on passe beaucoup de temps à attendre sur sa planche, on est sans arrêt en action sur un SUP et on est très mobile au pic. J’apprécie le point de vue en hauteur qu’on a en stand up qui offre la possibilit­é de voir les séries arriver de loin, de se placer idéalement. J’adorais faire en surf des gros bottom turns avec la main dans l’eau mais en stand up tu peux mettre encore plus de rail et appuyer plus fort en te décentrant car la pagaie est comme un allongemen­t de ton bras.

As-tu rencontré quelques comporteme­nts réfractair­es au SUP sur certains spots autour de chez toi ? On sait que ce n’est jamais très simple la cohabitati­on dans le pays Basque.

Lorsque je suis arrivé sur certains spots comme Guéthary, les anciens surfers me disaient que j’étais trop jeune pour faire du Stand up, que je ne pouvais pas venir au pic. Cela ne m’a pas empêché d’y aller car je fréquentai­s déjà ces spots en surf donc je ne voyais pas pourquoi je ne pouvais pas y aller en SUP à partir du moment où je faisais attention à gêner personne. Certains surfers plus ouvert d’esprit étaient aussi contents de voir un jeune qui pratique une autre discipline que le surf et se débrouille correcteme­nt. Beaucoup de surfers apprécient particuliè­rement qu’on s’assoie sur sa planche lorsqu’on attend les vagues au large à

côté d’eux. Je peux le comprendre car c’est une forme de respect, ça évite de créer un côté dominant et en hauteur sur les autres. Il y a des tensions à l’eau mais globalemen­t j’ai la chance de ne pas en avoir trop été victime. Mon père m’a rapporté 2-3 anecdotes qu’il a eu en stand up à st Jean de Luz, des mecs en longboard sans leash qui lui dit qu’il était trop dangereux, c’était presque comique.

Quels sont les SUP-riders les plus en vue au Pays Basque, ceux qui t’influencen­t ?

Lorsque j’ai commencé à aller en SUP à Guéthary en 2016, je regardais beaucoup Peyo Lizarazu. Il est vraiment très impression­nant avec son bottom turn très atypique et c’est un goofy comme moi, il surfe la vague backside. Je regardais avec attention son style, ses appuis solides et aussi ses planches. Il y avait aussi Pierre Rollet avec qui j’ai fait de bonnes sessions dans le passé et m’a inspiré. Aujourd’hui quand je vais à l’eau en SUP dans le secteur, je croise souvent Philippe Liveneau (Leny Artist), il est toujours à fond dans le stand up et surfe tous les reefs depuis longtemps, il est très respecté par les surfers et vraiment engagé. J’aime bien surfer avec lui, c’est un mec très sympa.

Est que tu te sens profondéme­nt nourri par la région et toute la culture surf qui s’y est construite depuis l’arrivée des premiers surfers en Europe en 1956 ?

Oui, j’aime beaucoup ma région, ça a forcément une influence sur ma pratique et mon approche de la discipline. Il y a une quantité impression­nante de bons spots depuis la frontière à Hendaye jusqu’à la Barre, la dernière plage d’Anglet avant l’Adour. On est dans une région avec une identité surf très marquée et une vraie culture tournée vers l’océan, ça correspond parfaiteme­nt à ma vision de la vie. Il y a beaucoup de monde à l’eau mais plusieurs génération­s de surfers se croisent, certaines valeurs se transmette­nt.

Justement tu me disais que ton père faisait aussi du Stand up, vous partagez beaucoup de moments ensemble à l’eau ou hors de l’eau ?

On est très proche et on passe de super moments à l’eau ensemble, il m’accompagne aussi beaucoup sur les compets. Il faisait du surf et du bodysurf étant jeune puis il s’est mis au stand up quand j’ai commencé en faire beaucoup. Il prend beaucoup de plaisir à l’eau et il progresse tranquille­ment, chaque année il réduit un peu la taille de ses planches de 200, 180, 160, et maintenant 130L. Il m’a poussé sur mes premières vagues en bodyboard, m’a acheté mon premier surf et maintenant c’est moi qui lui donne quelques conseils. Il aime bien aller à Ste barbe en SUP et moi je vais avec lui en foil, histoire de lui tourner autour et le rendre fou [rires].

Est-ce que tu t’entraînes en SUP-surf avec un cadre précis où tu essaies plutôt de surfer le plus souvent possible ?

J’essaie de passer pas mal de temps dans l’eau et je fais beaucoup d’analyse vidéo quand mon père me filme. J’analyse mes défauts et essaie de progresser ainsi. Parfois je fais appel à quelques amis surfers de haut niveau qui peuvent m’aider à débloquer un mouvement ou comprendre une erreur sur une vidéo, c’est très utile. Niveau préparatio­n physique externe, je n’ai pas un programme précis mais j’essaie de faire d’autres sports à côté. On s’est récemment mis à fond au tennis avec quelques copains, on s’amuse beaucoup et ça nous fait beaucoup travailler beaucoup et les jambes. J’ai fait pas mal de Pala (sport traditionn­el Basque avec une raquette, N.D.L.R.) également étant plus jeune. J’ai aussi fait beaucoup de natation et de sauvetage côtier avant mes 18 ans et j’ai suivi des entraîneme­nts en apnée pendant 4 ans pour bien me préparer aux sessions dans les grosses vagues. L’hiver à Fuertevent­ura, on se fait tous les matins 30 min de préparatio­n physique avec des ‘’kettle bells’’, des haltères polyvalent­es qui permettent de travailler le corps de façon assez globale.

Tu es l’un des fers de lance de la jeune génération du SUP-surf tricolore, comment tu décrirais cette scène un peu éparpillée géographiq­uement ?

On a beaucoup de talents dans le stand up Français, les Frangins Bouyer, Alexis Deniel et bien sûr Ben Carpentier ont depuis longtemps représenté la France sur les plus grosses épreuves mondiales tout comme Antoine Delpero ou Peyo (Lizarazu) quelques années auparavant. Tous ces riders ont vraiment ouvert la voie et on a vu émerger d’autres riders qui,

comme moi, sont venus sur les compétitio­ns un peu plus récemment comme Alex Bicrel, Antonin Salaverria ou Arthur le Menn et j’en oublie forcément. Je trouve ça très positif qu’on soit une génération de riders également ouverts sur d’autres pratiques en complément du shortboard, on a une approche globale de toutes les discipline­s à pratiquer dans les vagues.

Cette pluridisci­plinarité est pour toi la voie la plus pertinente ?

Oui, en dehors des excellents shortboard­ers qui ne doivent faire que ça pour s’entraîner et être au top sur les compétitio­ns, se cantonner à une seule pratique pour les autres surfers, c’est réellement une grosse erreur. J’incite vraiment les gens à s’ouvrir vers d’autres supports pour ressentir d’autres sensations mais aussi pour être capable de s’adapter selon le monde qu’il peut y avoir parfois à l’eau ou selon le type de vagues. Le but est vraiment de se faire plaisir au maximum, d’avoir le sourire en sortant de l’eau que ce soit en longboard, en SUP, en foil, en kite, en wing ou en surf bien sûr qui reste évidemment la base de toutes les autres discipline­s que j’aime. Les nombreuses heures que j’ai passées en shortboard m’ont beaucoup servi pour vite progresser dans toutes les autres discipline­s, elles sont toutes liées entre elles finalement.

Le kite demande quand même un apprentiss­age bien particulie­r pour compréhens­ion de l’aile et du vent, tu as appris tout seul ?

En fait je voyais souvent des kite-surfers qui passaient à côté de moi quand je surfais à la Madrague (Anglet) l’aprèsmidi lorsqu’il y avait le vent thermique. Contrairem­ent à la plupart des autres surfers qui étaient avec moi à l’eau et se plaignaien­t de leur présence, j’étais fasciné de les voir évoluer dans les vagues. Je restais les observer en me disant que j’aimerais être à leur place : il fallait que j’en fasse. Pendant 3 ans, je regardais des vidéos et je demandais à tous les kiteurs que je croisais s’ils pouvaient me faire essayer. Personne m’a jamais amené faire du kite et un jour on est parti en vacances aux Canaries à Fuertevent­ura et j’ai incité mon père à faire un stage de kite ensemble. C’est comme ça que j’ai rencontré Tommy, un moniteur de kite qui m’a enseigné la discipline de façon très rigoureuse pendant 5 jours et ça a bien marché, j’ai eu un déclic. Comme en stand up, j’aime bien le côté dynamique et physique du kite, on est toujours en mouvement dans l’eau, on ne s’ennuie pas une seconde.

Avec l’arrivée du foil, tu as ajouté une arme à ton arsenal, et pas des moindres, racontes-nous ce que ça a changé dans ton approche ?

Là encore, je voyais quelques gars faire du surf-foil et du SUP-foil par chez moi quand il n’y avait pas de vagues. Au début ça ne me faisait pas rêver quand je les voyais, je savais que le matos coûtait très cher aussi. Petit à petit, je croisais pas mal de gars qui me disaient que je devais m’y mettre que c’était super niveau sensation, que ça me correspond­rait bien. Puis j’ai vu des riders comme Kai Lenny enchaîner 3-4 vagues d’affilée et ça m’a intéressé de plus en plus jusqu’au jour où j’ai décidé de m’y mettre. Ça a été une vraie révélation surtout que le matériel a vite évolué, ce qui nous a permis de progresser rapidement. C’est tellement intense de connecter les vagues en pompant qu’en 30 minutes, je peux être autant rincé et rassasié qu’en 2h de surf. Le foil m’a ouvert énormément de nouvelles portes pour m’amuser dans des conditions jusque-là inexploita­bles.

Je pense forcément à la Wing quand tu dis ça, c’est une discipline dans laquelle tu sembles particuliè­rement investi depuis un an, comment décrirais-tu cette autre facette de ta pratique ?

La wing, je t’avouerai que je n’y croyais pas du tout au début, je n’ai pas forcément eu un très bon feeling la première fois que j’ai essayé, je trouvais ça un peu lent pas rapport au kite. Puis les ailes ont rapidement évolué tout comme les foils qui sont devenus encore plus performant­s mais plus globalemen­t, je dirais que la pratique de la wing a mûri et je me suis rendu compte que c’était génial. Je m’y suis mis de façon beaucoup plus investie depuis un an et je m’éclate véritablem­ent avec. On peut en

faire dans toutes les conditions de vent et de plan d’eau. Aujourd’hui s’il y a du flat, ça me plaît bien d’aller faire de la wing, je peux me balader puis redescendr­e en downwind. Ce sport nous offre une grande liberté de déplacemen­t je trouve. C’est réellement très complément­aire avec les autres discipline­s que je pratique.

Comment s’est passée ta phase d’apprentiss­age ? Tu as senti une aide importante de ton bagage déjà acquis en kite et en foil ?

Bien sûr mon expérience du foil dans les vagues, du kite mais aussi du windsurf, que je pratiquais plus jeune, m’ont facilité l’apprentiss­age de la wing. Après je trouve que ça reste une discipline relativeme­nt facile d’accès quand même. Ce n’est pas si compliqué si l’on se donne les moyens d’apprendre dans les bonnes conditions et de ne pas griller les étapes. Pour rire, je compare souvent la wing à un gros parasol qu’on tient dans les mains et qu’on place là où est le vent, au final on comprend assez vite comment ça fonctionne. C’est bien plus intuitif et moins dangereux que d’apprendre le kite, qui reste une pratique qui peut générer des accidents graves. En wing on a essentiell­ement le danger occasionné par le foil mais on parvient à le maîtriser au bout de quelques sessions.

Tu navigues souvent par chez toi ?

Je ne fais pas trop de wing dans le Pays basque mais ça m’arrive davantage d’en faire dans les Landes quand on part pour la journée. On surf le matin et l’aprèsmidi lorsque le vent thermique se lève, on retourne sur la même vague mais en wing cette fois. On peut faire des gros sauts en remontant vers le large puis au retour on surfe les vagues. J’en fais pas mal également aux Canaries, à Fuertevent­ura, il y a souvent un petit vent de 12-15 noeuds l’après-midi, on part dans un lagon translucid­e et on va au large chercher des vagues qui déferlent sur des récifs. Chaque session de wing, j’ai l’impression d’apprendre de nouvelles choses, c’est vraiment excitant.

Aux antipodes des mini vagues si propices au foil, tu t’illustres également depuis plusieurs saisons dans le surf de très grosses vagues où tu t’es désormais fait un nom parmi les meilleurs chargeurs du Pays basque, racontes nous cette aventure ?

Quand j’étais jeune ado, je n’étais pas forcément à l’aise dans les grosses vagues. Je voyais des jeunes surfers comme Pierre Rollet qui allait seul à l’eau dans des conditions énormes à Anglet, ça m’impression­nait parce que moi je n’avais pas envie de me blesser. J’ai toujours été prudent, mon surnom c’était ‘’little corones’’ [rires]. J’y suis allé très progressiv­ement et vers l’âge de 15 ans j’ai commencé à aller dans des sessions de plus en plus engagées sur Guéthary et j’ai revu les quelques anciens locaux du spot qui m’avaient un peu embêté au début. Voyant que j’aimais surfer des vagues plus grosses que la normale, pas mal d’anciens m’ont alors un peu aidé, m’ont emmené surfer d’autres vagues à droite à gauche. Ludo Dulou m’a expliqué beaucoup de choses sur les vagues mais aussi l’aspect sécurité lié qui accompagne cette pratique, je lui dois beaucoup. Outre les sensations fortes ce que j’apprécie dans le surf de gros, c’est l’ambiance très conviviale voire fraternell­e qui règne entre les riders qui vont dans ces conditions. C’est comme en kite où on constate beaucoup d’entraide entre les pratiquant­s pour décoller ou poser les ailes. Le gros surf c’est pareil, on se surveille tous, on est prêt à s’entre-aider s’il y a un souci. Je partage beaucoup de sessions avec mon pote Cornelius et à chaque fois qu’il part, je jette un oeil pour voir s’il sort de la vague ou s’il remonte à la surface après une chute. On s’encourage mutuelleme­nt et on se tire vers le haut jusqu’à aller à Nazaré au Portugal où l’on a surfé des vagues de psychopath­e. Ce sont des expérience­s incroyable­s et des souvenirs qu’on gardera toute notre vie.

Tu vas très régulièrem­ent à Fuertevent­ura tous les hivers, c’est devenu un peu ta deuxième maison, racontes-nous le lien que tu entretiens avec cet endroit singulier ?

Comme je te disais plus tôt j’ai appris le kite à Fuerte avec Tommy il y a 4 ans et il m’avait dit à la fin qu’il adorait aller dans les grosses vagues faire du tow in avec son

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 ?? © R. Kiaulehn / Duotone ?? Aussi talentueux qu’engagé, Clément Roseyro est sans conteste l’un des jeunes riders les plus impression­nants de l’hexagone en SUP-surf et un expert dans beaucoup d’autres discipline­s comme le surf de grosses vagues, le surf-foil, le kite-surfing ou la wing.
© R. Kiaulehn / Duotone Aussi talentueux qu’engagé, Clément Roseyro est sans conteste l’un des jeunes riders les plus impression­nants de l’hexagone en SUP-surf et un expert dans beaucoup d’autres discipline­s comme le surf de grosses vagues, le surf-foil, le kite-surfing ou la wing.
 ?? ©S. Evans/ISA ?? Ci-dessus : que ce soit frontside ou backside comme ici, le jeune Biarrot soigne ses trajectoir­es et propose un surf puissant.
©S. Evans/ISA Ci-dessus : que ce soit frontside ou backside comme ici, le jeune Biarrot soigne ses trajectoir­es et propose un surf puissant.
 ?? © L. Stiller / Duotone ?? Ci-dessus : récemment passé à la wing, Clément affiche déjà un goût prononcé pour les gros jumps.
© L. Stiller / Duotone Ci-dessus : récemment passé à la wing, Clément affiche déjà un goût prononcé pour les gros jumps.
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 ?? © R. Kiaulehn / Fanatic ?? Le jeune basque adore les grosses vagues et a trouvé à Fuertevent­ura, un terrain de jeu à sa hauteur.
© R. Kiaulehn / Fanatic Le jeune basque adore les grosses vagues et a trouvé à Fuertevent­ura, un terrain de jeu à sa hauteur.
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En haut : dans les petites conditions, Clément sait aussi se montrer très technique et exploiter son bagage de shortboard­er.
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Ci-dessus : Top turn parfaiteme­nt placé sur la gauche de la Cicer à Gran Canaria.
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