Spécial Madame Figaro

ROULA NAHAS Ondes positives

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Je dirais plutôt que ça se peaufine. Nous avons tout en nous pour être entreprene­ure, mais il faut faire preuve de beaucoup de motivation, de volonté, d’humilité, d’envie d’apprendre et de résilience jusqu’à éventuelle­ment réussir.

Mon mari et une amie n’ont pas arrêté de me pousser à réaliser ce projet et surtout à canaliser l’énergie qui est en moi pour en faire quelque chose de concret et qui me ressemble.

D’abord les maîtres chocolatie­rs qui ont misé sur la marque, ensuite les clients qui ont renouvelé leurs achats après une première expérience.

Notre présence, peu après le lancement de la marque, au Duty Free de l’aéroport internatio­nal Rafic Hariri. Les conditions de sélection et d’acceptatio­n étant très rigoureuse­s, je suis fière de cet accompliss­ement et de ce succès.

Ils sont partout, comme pour tout le monde, et cela fait partie du chemin. L’important est de les contourner ou de les franchir, et non pas de se laisser abattre.

Pas de grands regrets, je crois que tout arrive pour une raison, et nous devons nous adapter ou essayer de changer les choses. Regarder en arrière tout en se laissant ronger par les regrets ne sert strictemen­t à rien, et c’est une vraie perte de temps.

Tout. Chaque jour est un nouveau défi. Je pense que nous n’arrêtons jamais d’apprendre. Etre en compétitio­n avec soimême et se lancer des défis est le plus beau jeu, où mettre la barre toujours plus haut permet de donner sans cesse le meilleur de soi-même.

Mes basiques : un jean, un haut blanc ou noir, mes talons hauts et surtout mes cheveux tirés en arrière, et noués en queue-de-cheval.

Les petits plaisirs de la vie quotidienn­e: le sourire sur le visage de mes enfants, une bonne musique quand je suis en voiture, le sourire d’un policier au feu rouge, voir les femmes se soutenir entre elles…je suis une nature positive et optimiste.

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