Critique-ciné
sauce chasseur cuisiné avec amour par sa petite soeur Gilberte (Yolande Moreau), mais avalé de travers, Paulette, modèle de vertus casanières, doit prendre en main le destin de son école ménagère. Et aussi le sien, puisque le destin remet sur son chemin son amour de jeunesse, André Grunvald (Edouard Baer). Paulette saura-t-elle cadencer le pas avec l’histoire en marche, qui avance inexorablement en ce mai 1968?
Une histoire dans son jus
On ne sait pas vraiment par quel bout l’attraper, «La bonne épouse» qui déboule à nouveau sur nos écrans, après y avoir fait une première escale le 12 mars dans le cadre du dixième Luxfilmfest, puis avoir vu sa carrière mis au frais le temps d’une pandémie.
Conte de fée trop caricatural pour être vraiment d’actualité, récit trop charmant pour être simplement