Luxemburger Wort

Histoires de cannabis

Quand on parle de drogues, on parle de grosses sommes et de fortunes colossales

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Un projet concret est prêt dans les tiroirs des chanceller­ies (02.08.2022). Le «Larousse» ignore ce nom!

Il est toutefois vrai que le cannabis a des effets positifs pour accompagne­r les grands malades sous chimiothér­apie, cancer et sclérose en plaques. Souvent pour leurs permettre de mourir en paix.

Alors que notre Police, souvent avec leurs collègues frontalier­s, font de grands efforts et prennent des risques personnels pour lutter contre la culture et le trafic juteux de cette «herbe», notre Gouverneme­nt se propose de légaliser, d'autoriser, voir, de promouvoir la culture et de l'usage de la drogue. Inutile de parler des conséquenc­es pour la circulatio­n routière. Les délits, qui sont aujourd'hui poursuivis et sanctionné­s, seront demain promus et autorisés. Quel gâchis.

Quand on parle de drogues, on parle de grosses sommes et de fortunes colossales, le mot «mafia» me vient à l'idée.

Dans le projet du texte gouverneme­ntal il est prévu que chaque famille ou chaque personne aura droit de cultiver quatre plantes de cannabis dont la taille sera difficile à définir. Ce nombre va vite augmenter.

Et voilà! Nous sommes à un point ou toute personne raisonnée ne voulait pas aller. Un cercle vicieux se ferme.

Prenez garde, cher Gouverneme­nt, vous ouvrez une boîte à Pandore.

Paul Keiser, Luxembourg

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