Rendez à César…
Parfois, quand l’inspiration se fait frileuse, mieux vaut laisser la parole à d’autres que d’enfiler des poncifs… En guise de billet, voici donc aujourd’hui huit phrases à rendre à leurs auteurs, les huit présidents que la Ve République a connus. A vous de jouer ! ) Les Français commencent à comprendre que c’est l’entreprise qui crée la richesse, qui détermine notre niveau de vie et notre place dans la hiérarchie mondiale. ) J’abhorre le racisme. Je déteste la xénophobie. Je crois dans la force et la richesse de la diversité. ) La France n’est pas un pays qui se réforme. Il ne se réforme pas parce qu’on se cabre, on résiste, on contourne. Nous sommes ainsi faits. ) Il y a ceux qui n’attendent plus rien, je fais en sorte de leur apporter ce qu’ils attendent. ) Les temps changent. Autrefois, c’était l’homme qui décidait. Il donnait la vie, la femme était comme un Frigidaire. Enfin, un Frigidaire chaud ! Dont l’homme tirait la poignée. ) Sarkozy, faut lui marcher dessus, pour deux raisons : d’abord il ne comprend que ça et en plus il paraît que ça porte bonheur. ) Au ciel, le policier est britannique, le chef cuisinier est français, l’amant est italien, le mécanicien est allemand et l’administrateur suisse. En enfer, le policier est allemand, le chef cuisinier est anglais, l’amant est suisse, le mécanicien est français et l’administrateur italien. ) La vie n’est pas le travail : travailler sans cesse rend fou.