« J’aime les couleurs et le logo du club »

Votre rencontre avec les supporters ?

Ils ont été francs, comme je l'ai été. On se ressemble sur pas mal d'aspects. Je leur ai dit que l'importance était de conserver le dialogue, et surtout dans les moments compliqués. Ils ont une place importante au club. Je suis très satisfait de cette première étape, la confiance se construit étape après étape.

L'interdiction des supporters à Marseille ?

C'est entré dans les moeurs en France, tu sais que les supporters niçois seront constamment interdits à Marseille. Le jeudi, tu attends tranquillement dans ton bureau que l'arrêté tombe, en fait. Et ça ne choque plus. Encore une fois, avec mon vécu en Angleterre, ça me choque, moi ! Barsnley, c'était   supporters en déplacement.

En France, tu as % dédié aux visiteurs, en Angleterre tu as une tribune. Le paradoxe est incroyable : la Ligue veut développer à l'international mais matraque ses clubs d'interdiction ! C'est aberrant de se dire que tu n'es pas capable de gérer  supporters niçois à Marseille. Je suis un romantique, j'aime croire que les supporters ont un impact sur la performance. Il faut qu'on essaie de faire bouger les choses.

S'impliquer dans les instances françaises comme votre prédécesseur, vous l'envisagez ?

Aujourd'hui je consacre mon énergie à % sur l'OGC Nice. Mais si je pouvais réussir à mobiliser d'autres clubs pour faire bouger les choses sur les dossiers auxquels je suis sensible, comme l'alcool dans les stades et les déplacements autorisés, ça me plairait, oui.

Quand vous avez appris votre nomination, quelle était la première image de l'OGC Nice que vous aviez ?

Les couleurs. J'aime beaucoup le nouveau logo du club aussi.