Sciences Po
De l’avis de la Chambre, il conviendrait de « compléter la relation avec Sciences Po en demandant une convention d’objectifs, comme pour toutes les associations subventionnées au-delà de euros », souligne le maire. « On pourrait en profiter pour mettre à plat les choses », cingle Philippe Briand. Rejoint par Patrice Novelli, qui réaffirme son opposition à la gratuité offerte à l’institution. « C’est le campus le plus demandé, et Sciences Po n’a pas les moyens. S’ils devaient payer, ils seraient obligés de fermer », rétorque Jean-Claude Guibal. « Alors peut-être aurait-il fallu le laisser où il était plutôt que d’entamer des travaux pharaoniques, s’ils ne peuvent pas payer… » lâche Claude Calvin.