Michel Marignani : « On a réussi quelque chose au top »
Derrière sa moustache, Michel Marignani [photo ci-contre] cache une âme d’enfant. Il fédère, anime et organise bénévolement cette animation cyclique. Son seul plaisir est justement d’en offrir et surtout qu’on parle (en bien !) de son village chéri. Rencontre.
Comment se présente cette dix-neuvième édition ?
Très bien, j’ai un collectif d’environ douze personnes qui m’épaulent en permanence et on a réussi quelque chose au top.
Quelles sont les particularités de ce nouvel opus ?
Nous avons des crèches en papier Killing, on ne voit pas que c’est du papier. C’est une personne de Saint-André-la-Roche qui fait ça avec passion. Nous avons aussi une crèche de , m qui nous vient de Montpellier avec des santons provençaux traditionnels et beaucoup d’autres réalisations très originales dont une de l’Esat Menton en papier mâché.
Ne manque-t-il pas, selon vous, une animation annexe autour de ce chemin institutionnel ?
Pour moi, il ne manque rien car c’est la dix-neuvième année que nous réalisons ce chemin avec des visiteurs qui nous viennent de tous les coins du globe. Les visiteurs seront présents, seul le temps demeure incertain.
Associer les enfants ou créer une autre animation autour n’est pas envisageable ?
L’office de tourisme avait créé anciennement un parcours qui se terminait au château.
Mais je n’ai pas d’idée, peut-être qu’un jour ça sortira.
Pour faire un grand jeu avec les enfants, c’est compliqué de les faire venir depuis Carnolès.
Une autre action à développer ?
C’est possible car on a des écoles qui viennent visiter chaque année, plusieurs institutrices m’ont d’ailleurs demandé comment réaliser certaines crèches en pâtes alimentaires par exemple. Ça, ce n’est pas compliqué à faire.