À Saint-Raphaël, PureAéro veut démocratiser la désinfection
Fraîchement fondée en mai à Saint-Raphaël, dans le sillage de l’actualité « covidée », PureAéro surfe sur la vague « garantie d’un espace sain » et vise aussi bien cabinet dentaire, yacht, resto, bureau ou auto. « L’idée est de démocratiser la désinfection pour les entreprises et commerces à un moindre coût afin de rassurer salariés et usagers », explique un Roland Le Joliff aux multiples casquettes (lire par ailleurs).
Pour cela, le Niçois commercialise des appareils fixes ou mobiles qui vont traiter l’espace public en permanence, sans aucun effet néfaste. Le procédé est tout simplement basé sur une lampe UVC qui, grâce à l’action conjuguée du plasma d’oxygène et de l’ozone, fait son office virucide. L’idéal étant de se placer en sortie de climatisation afin de traiter en permanence tous les agents pathogènes.
Totem, une caméra faciale préventive
Les appareils purificateurs coûtent de à euros pour les modèles « premium » destinés aux Ehpad, cliniques, hôpitaux ou ambulances. PureAéro n’en reste pas là et lance aussi sur le marché sa caméra Totem (photo ci-contre). Elle prend la température (avec alarme vocale en cas de « surchauffe » frontale) et détecte si l’on porte ou non un masque. Un restaurant de Fréjus est déjà preneur, mais Roland Le Joliff imagine l’usage utile d’un tel dispositif aux entrées de soirées théâtres, concerts, etc., à l’avenir.