« Notre plus grande fierté, c’est de réunir les familles »
Devenu un programme incontournable pendant le confinement, Tous en cuisine,
Quelles seront les nouveautés de cette saison ?
Vous faites déjà le buzz autour de la recette qui sera présentée ce soir,
‘‘ intitulée « la salade niçoise ». Dont la version signée Cyril Lignac n’est pas du goût de certains internautes…
Si vous m’aviez demandé quels étaient les ingrédients qui composent cette recette, j’aurais été incapable de vous le dire ! Je ne m’occupe pas de cette partie de l’émission. J’ai cru comprendre que la salade de Cyril n’était pas aussi niçoise qu’elle en avait l’air dans le titre. Que normalement les pommes de terre n’y figurent pas, ni les haricots verts. Je comprends que les gens soient attachés à des valeurs, à des traditions mais, en tant que chef,
Cyril a sans doute voulu aller audelà de la recette classique, la revisiter. Alors effectivement, on aurait peut-être dû appeler ça « la salade presque niçoise » par exemple. Le but n’était pas du tout de froisser des gens en tout cas, et si tel est le cas, on rectifiera à l’antenne.
Vous espérez faire votre Tour de France gourmand, que représente notre région à vos yeux ?
J’ai passé toute mon enfance à Cannes, Saint-Tropez, Juan-lesPins, et découvert Nice plus récemment. C’est magnifique ! Et d’h’abitude, je viens chaque année participer à Antibes à l’événement Enfant, star et match, car je suis ambassadeur de cette association.
Vous avez sorti en février dernier votre premier album, un medley de variétés façon swing intitulé Ma plus belle chanson. Comment a-t-il été accueilli ?
La promo avec les émissions de télé n’a pu avoir lieu, mais la mise en place du CD s’est très bien passée, je ne sais pas par quel miracle. Peut-être grâce aux réseaux sociaux, car je me suis beaucoup mis sur Instagram notamment. La promo va reprendre à la rentrée, même si ça risque d’être très embouteillé ! Car c’est un projet qui me tient vraiment à coeur. Et j’ai pu voir lors des quelques concerts que j’ai pu donner pendant l’été que ça marchait toujours.
Cet album vous révèle sous un jour inédit, celui de crooner ?
Oui et ce n’est pas éloigné de ce que je fais à la télé. Et même si cela reste très modeste, je peux me connecter aux gens en vrai par le prisme de ces concerts, et ça j’adore ! Quand j’étais gosse, je suivais les émissions de variétés des Carpentier, auxquels j’ai consacré un livre il y a quelques années. Dans le fond, je suis resté ce môme émerveillé par les artistes de music-hall. Les Distel, les Henri Salvador, les Annie Cordy. Je ne prétends pas avoir le talent de ces gens-là, j’essaie juste d’aller dans leur direction, tout en ne me prenant jamais au sérieux !
Le but n’était pas de blesser avec la recette de la salade niçoise”
sur M6.