cas positifs en h
Selon les chiffres publiés, hier soir, par Santé Publique France, il y a cas de contamination, dont de plus en vingt-quatre heures. Le taux de positivité s’établit désormais à , %. On dénombre morts à l’hôpital pour la même période.
Il y a eu nouvelles hospitalisations sur les sept derniers jours dont en réanimation. On comptabilise également sur le territoire clusters en cours d’investigation au er décembre dont en Ehpad. Cent départements sont en situation de vulnérabilité élevée.
Plus de personnes hospitalisées aux Etats-Unis
Le nombre de personnes infectées par le coronavirus et hospitalisées aux Etats-Unis a dépassé les pour la première fois depuis le début de la pandémie, a annoncé, hier, le Covid Tracking Project. Et les autorités américaines craignent que cette situation n’empire : plus de personnes sont actuellement testées positives au Covid- chaque jour aux Etats-Unis. Un essor des contaminations est aussi attendu après les célébrations de Thanksgiving, marquées par les déplacements de millions de personnes.
Plus de , million de morts dans le monde
Plus de , million de décès du nouveau coronavirus ont été officiellement enregistrés dans le monde depuis le début de la pandémie, pour près de millions de cas, selon un comptage réalisé par l’AFP hier soir à partir des bilans fournis par les autorités. Au total décès, pour cas, ont été recensés dans le monde depuis le début de la pandémie en Chine en décembre. L’Amérique latine et les Caraïbes sont la région du monde la plus touchée avec morts, devant l’Europe ( décès), et les Etats-Unis et le Canada ( ).
La stratégie de vaccination présentée par le Premier ministre a respecté les recommandations de la Haute Autorité de Santé, et s’appuie, pour ce qui concerne la priorisation, sur des chiffres qui parlent
La Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a jugé, hier, irrecevable la requête d’un particulier contestant la gestion de la crise sanitaire par la France, car il n’a pas démontré en quoi cela l’avait affecté personnellement.
« La Cour observe que le requérant conteste les mesures prises par l’Etat français pour lutter contre la propagation du virus Covid-19 à l’égard de l’ensemble de la population française, mais qu’il ne démontre pas en quoi ces mesures l’ont personnellement affecté », a argumenté l’institution judiciaire du Conseil de l’Europe, installée à Strasbourg.
En effet, la cour explique qu’une personne se plaignant auprès d’elle « doit produire des indices raisonnables et convaincants en ce qui le concerne personnellement » pour être définie comme victime, mais qu’elle ne peut pas se plaindre d’une pratique nationale ou d’un acte public « simplement parce qu’ils lui paraissent enfreindre la Convention » européenne des droits de l’Homme.
En l’occurrence, un quadragénaire habitant Marseille, Renaud Le Mailloux, avait introduit sa requête auprès de la CEDH au mois d’avril. Evoquant divers articles de la convention européenne des droits de l’Homme comme le droit à la vie et l’interdiction des traitements dégradants, il se plaignait « de manquements de l’État à ses obligations positives de protéger la vie et l’intégrité physique des personnes se trouvant sous sa juridiction ».
Il dénonçait notamment l’absence de fourniture de masques aux professionnels de santé comme à la population, les limitations d’accès aux tests de dépistage et à certains traitements comme l’association d’hydroxychloroquine et d’azithromycine, défendue par le Pr Didier Raoult. Par ailleurs, le requérant, qui s’était associé à un référé devant le Conseil d’Etat du Syndicat des Médecins d’Aix et région (SMAER) rejeté en mars, se disait « très fragilisé par une pathologie grave ». Mais les trois juges de la CEDH relèvent que Renaud Le Mailloux « ne fournit aucune information sur sa pathologie et s’abstient d’expliquer en quoi les manquements allégués des autorités nationales seraient susceptibles d’affecter sa santé et sa vie privée ». Selon la base de données de la CEDH, six autres requêtes en lien avec l’action des Etats durant l’épidémie de coronavirus sont encore pendantes, à l’encontre de la Suisse, la Russie, la Roumanie, l’Italie, l’Arménie et le Royaume-Uni, principalement sur les conditions de détention, la diffusion de fausses informations sur l’épidémie, les liens familiaux et l’interdiction de manifester.