Julia Roberts MARRAINE CHOPARD SUPERSTAR
Une gemme : tout le monde l’aime ! Julia Roberts a créé l’événement jeudi soir. On ne l’avait pas revue au Festival de Cannes depuis 2016. Cette année-là, elle présentait Money Foster, de Jodie Foster, en bonne compagnie, puisqu’au bras de George Clooney.
C’est en solo que la superstar est apparue hier sur les marches. Héroïne du Trophée Chopard, qui met en lumière depuis une vingtaine d’années une actrice et un acteur prometteurs : la génération montante du cinéma. Impériale. Combinaison-smoking Dior, dont elle est l’étincelante égérie. Collier de diamants hallucinant. Plus de 100 carats pour la seule pierre montée en pendentif, d’un jaune « fancy » évidemment rarissime dans cette taille. Le tout épaulé par 55 carats de brillants ! Un joyau à l’échelle de l’icône mondiale du 7e Art, sourire éblouissant, regard désarmant.
Après Marion Cotillard, Léa Seydoux, Diane Kruger ou encore Niels Schneider, ce sont deux Britanniques qui assurent la relève. Sheila Atim et Jack Lowden, lauréats de cette édition 2022, ont tous deux 31 ans. La première, réfugiée ougandaise, est une artiste multicarte. Actrice, chanteuse, compositrice et mannequin, militante des droits de l’Homme. Vue dans de nombreuses adaptations au théâtre de Shakespeare. Autre point commun avec Jack Lowden, que l’on a croisé chez Christopher Nolan et qui a donc eu le privilège, jeudi, de partager un dîner avec l’hyper populaire et même quasi légendaire Pretty Woman. Elle-même entourée de Pierre Lescure et Thierry Frémaux, Caroline Scheufele, coprésidente et directrice de Chopard, et d’une grande partie du jury, dont le président Vincent Lindon. Parmi de nombreux invités où l’on comptait également Xavier Dolan, enfant terrible - et prodige du Festival de Cannes.