Derniers tours de piste
sens propre – avec l’hymne jamesbondien Live and Let Die et une version survitaminée de Helter Skelter.
Sur trois heures de set, rien à jeter… hormis l’acoustique catastrophique du chaudron phocéen. Si le son est étincelant au parterre, face à la scène, l’écho augmente au fur et à mesure que l’on prend de l’altitude. Tout en haut des gradins, les titres sonnent comme s’ils étaient joués dans un cabinet de toilette. Plusieurs centaines de mélomanes abandonnent leurs sièges perchés au bout de deux ou trois titres, pour savourer sans retenue les notes bleues au ras de la pelouse.