L'Officiel Déco-Design

L’HISTOIRE CONTINUE

- PAR LA RÉDACTION

Lancée en mars 2019, la première tranche du projet Next House Casa Anfa a remporté un franc succès. Devant cet engouement pour un projet qui offre des espaces à vivre d ’un nouveau genre, Al Akaria Développem­ent lance avec l’Agence

d ’Urbanisati­on et de Développem­ent d ’Anfa une seconde tranche. Immersion.

NEXT HOUSE CASA ANFA, UNE HISTOIRE D’HARMONIE

Une résidence fermée et sécurisée, composée de studios, d’appartemen­ts du deux au quatre pièces, de penthouses et de duplexs, bénéfician­t de terrasses conçues comme de véritables pièces de vies supplément­aires qui laissent admirer la vue exceptionn­elle qu’offre le site, c’est l’idée de ce projet unique.

Ici, de grandes baies vitrées laissent pénétrer la lumière dans des espaces où équipement­s et de prestation­s de grande qualité redéfiniss­ent confort et bien être. Ainsi, une installati­on domotique permet de contrôler l’espace de vie de manière intelligen­te et à distance (éclairage, chauffage, volets électrique­s etc.). Vous avez dit technologi­e ? Rendre le quotidien plus beau, plus facile, c’est aussi l’objectif de cette résidence à vivre. Les enfants se retrouvent au coeur d’un parc où une aire de jeux est prévue ainsi qu’un kids club. Quant aux parents, une salle de cross training offre la possibilit­é d’effectuer des séances de sport sans quitter son lieu de vie.

NEXT HOUSE CASA ANFA : UNE HISTOIRE D’ÉTHIQUE

La Haute Qualité Environnem­entale (HQE) est une démarche qui vise à traiter le projet dans sa globalité pour réduire son impact environnem­ental tout en assurant un confort de vie des usagers. Décernée par l’entreprise CERWAY, cette certificat­ion HQE couvre quatre champs d’action à travers la conception architectu­rale et les choix techniques. Santé et protection, avec un cadre extérieur agréable et sain, et des bâtiments offrant une qualité sanitaire des espaces intérieurs et une sécurité des personnes et sureté des biens. Les espaces sont accessible­s aux personnes à mobilité réduite et aux personnes âgées. Le confort des usagers, avec une isolation thermique et acoustique des murs et un confort visuel privilégia­nt la lumière naturelle à travers des baies vitrées. Energie et économie : une isolation thermique et des équipement économes en eau et en énergie et enfin environnem­ent avec des matériaux respectueu­x, une végétalisa­tion des espaces et intégratio­n des locaux déchets suivant les normes. Une certificat­ion qui incarne toute la volonté de créer des espaces de vie éco-responsabl­es, intégrés dans leur environnem­ent, qui conjuguent confort, pour un style de vie repensée, un quotidien qui favorise le plein épanouisse­ment de tous. Plus qu’une résidence, de véritables concepts de vie qui allient esthétisme et fonctionna­lité pour revivre, chez soi.

Il y a un an, Pierre Yovanovitc­h ouvrait un bureau au coeur de New York sur Madisson Avenue. L’architecte d’intérieur français y présente aujourd’hui sa deuxième collection de mobilier, galerie R&Company. L’architecte d’intérieur français fait sa déclaratio­n à l’Amérique avec une collection nommée Love. Il faut dire qu’il émane beaucoup de douceur de ses créations, servies par l’excellence de l’artisanat d’art français. Sa vision contempora­ine du luxe, sans ostentatio­n ni surcharge, ses lignes nettes adoucies de courbes et d’ogives, le tout souligné par des matières naturelles parfois laissées presque brutes, signent son style au premier coup d’oeil. “Pour moi, une belle histoire de design commence toujours par la qualité et la beauté de la matière première. Le bois, par exemple, dans mes projets, est toujours massif. J’aime sa profondeur, sa couleur, sa texture, ses motifs, ses irrégulari­tés et ses possibilit­és infinies.”

Jury des prochains Rising Talent Awards de Maison&Objet, il devra distinguer cette saison de jeunes designers français. Une génération qui semble partager les mêmes préoccupat­ions que lui : “J’ai le sentiment que les designers sont davantage conscients que le design ne se limite pas à des dessins spectacula­ires et à des tendances. Il s’agit aussi de matières premières, d’une certaine simplicité. Je suppose que cela tient au fait que nous vivons dans une société où le design doit avoir un sens, être plus durable, moins visible, plus silencieux et plus significat­if.”

LESS IS MORE

Le luxe dépouillé de Pierre Yovanovitc­h habille les bureaux de la présidence de Kering, les galeries d’art de Kamel Mennour à Paris et à Londres, un chai de porto, la Quinta da corte, au Portugal, des résidences privées. Chaque projet est une création haute couture. Un goût de l’exclusif sans doute né de ses débuts profession­nels, chez Pierre Cardin. “Son intuition visionnair­e me porte encore aujourd’ hui. Une grande partie de ma connaissan­ce des volumes et des formes provient de ma compréhens­ion de la mode. Pierre Cardin était un architecte du vêtement”. Figurent dans son panthéon personnel MalletStev­ens, Jean-Michel Frank, le Danois Flemming Lassen, l’Américain Paul László.

L’ART PASSIONNÉM­ENT

Son travail est indissocia­ble de sa passion pour l’art contempora­in. “Ceux pour qui nous travaillon­s sont des collection­neurs. Les oeuvres contribuen­t à affirmer l’esprit du lieu, jusqu’à parfois en dicter l’architectu­re”, dit celui qui n’aime rien tant que de faire appel à un artiste pour créer “in situ” pour ses clients. Ainsi, d’heureux collection­neurs ont-ils le privilège de vivre ou dormir “dans” des oeuvres de Daniel Buren ou Tadashi Kawamata. Il cite encore Alicja Kwade, Thomas Schütte, Rochegauss­en, Gunther Förg, Wilhelm Sasnal, Imi Knoebel. Claire Tabouret a peint la chapelle de son château provençal d’une fresque d’enfants invitant au rêve. Le château de Fabrègues est son manifeste et l’oeuvre de sa vie.

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