Une évolution ? Non, une révolution…
La Nouvelle Tribune et son portail d’informations en continu, www.lnt.ma s’efforcent depuis de nombreuses années, de donner aux lecteurs une relation fidèle et honnête de l’actualité nationale et internationale, dans tous ses champs.
Couvertures, enquêtes, entretiens sont donc ces outils qui permettent de remplir le rôle informationnel qui est le leur.
Mais cette démarche est souvent sous l’emprise de l’instantanéité, imposée par le développement formidable des technologies de l’Information et, surtout, de l’Internet. L’immédiateté et l’énorme masse de flux de données, de canaux, de médias, tout cela entraîne des changements profonds dans les modes opérationnels des professionnels de l’information.
Cela implique que l’analyse de fond, la réflexion posément menée, le recul nécessaire à l’approfondissement des thématiques soient, tous, abordés de façon différente.
Et ce, pour satisfaire des exigences qui servent avant tout à l’édification du lectorat.
Voilà pourquoi ces deux supports «jumeaux» ont choisi de réaliser à échéances relativement rapprochées des dossiers spéciaux sur des thématiques précises.
Celui qui s’ouvre dans les pages suivantes est dédié à la digitalisation bancaire qui se présente comme une véritable révolution opérée à l’échelle mondiale et que le Maroc connaît donc au niveau de son système bancaire national.
Celui-ci, prenant appui notamment sur les nouveaux modes comportementaux de la population de notre pays, où la jeunesse est aussi importante qu’adepte de ces outils de l’Internet, où l’on constate un équipement massif en smartphones, (plus de 45 millions d’unités !), a rapidement et fortement investi dans le «e-banking», le big data, et tous les instruments liés à ce phénomène qui concourt positivement à l’inclusion financière et repousse les menaces de la désintermédiation.
Mais pour autant, prenant appui sur les habitudes d’une partie de la clientèle, pour satisfaire le besoin de contact «physique» avec les conseillers et autres chargés de clientèle, nos banques n’ont pas renoncé à leurs agences. La banque universelle n’est pas dans une situation de renoncement, mais d’adaptation qui se traduit d’ailleurs par un concept au nom barbare la «phygitalisation» qui allie pratiques anteInternet et mise à disposition au sein des agences des outils digitaux consultables sur place.
Chacun, ainsi, peut y trouver ce qu’il cherche !
Ainsi, en se rapprochant des banques de la place pour donner la parole à ceux qui s’y occupent de digitalisation, des process mis en place et des solutions innovantes, notre dossier offre ainsi un panorama large et exhaustif des solutions adaptées et adoptées par les banques pour satisfaire les attentes et les exigences d’une clientèle «4.0».
Bonne lecture !